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Painkiller | chronique
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01- Painkiller
02- Hell Patrol
03- All Guns Blazing
04- Leather Rebel
05- Metal Meltdown
06- Night Crawler
07- Between The Hammer & The Anvil
08- A Touch Of Evil
09- Battle Hymn
10- One Shot At Glory
11- Living Bad Dreams (bonus)
12- Leather Rebel (bonus live)
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Can't Stop The PainKiller ! par I_Kirk_Your_Ass
Suite à un bon Ram It Down, on ne s'attendait surement pas à ça du côté des fans du Metal God, car ce Painkiller n'a rien à voir avec les précédents opus du quintette britannique.
Judas Priest a certainement dû sentir la colère monter suite au départ de son batteur, mais surtout après ses problèmes avec la justice et notamment contre certains catholiques (comme quoi en 20 ans les mentalités n'ont pas trop changés), car l'album donne l'impression d'avoir était fait avec la haine au ventre tellement il est hargneux.
Rien que la pochette semble énervée, sombre, elle représente le « Painkiller » sur un destrier de métal au dessus d'une ville dévastée. L'artwork annonce donc quelque chose de foncièrement énervé, mais la musique le sera-t-elle ? Un virage musical que les motards seraient en train d'amorcer ?
La réponse arrive dès que la bête est lancée avec la piste éponyme qui débute par quinze secondes de tempêtes rythmiques inhumaines digne d'un Testament. C'est Scott Travis qui remplace l'ancien batteur du groupe, inutile de préciser qu'il fait son effet et cela dès les premières secondes !
C'est ensuite les guitares qui s'ajoutent alors à l'implacable batterie puis la voix menaçante de Rob Halford. Habitués à des vocales plutôt mélodiques et sûr-aigües (enfin je vous rassure elles le sont toujours), toute cette hargne dans la voix de notre chanteur chauve a certainement surpris les fans de la première heure.
Cette puissance musicale est tellement présente tout le long qu'on en est à se demander si nous n'avons pas affaire à un CD de Thrash digne des plus grands moments de Metallica, ou encore de Slayer et Exodus. Il manque juste le son des guitares crasseusement saturées, typiques du Thrash Metal et l'entité n'aurait plus rien de Heavy.
Il reste quand même l'identité de Judas Priest gravé dans les riffs de guitares, riffs accrocheurs pour notre plus grand plaisir. Les dix pistes se démarquent par leurs riffs bien souvent épiques mais surtout très speed et les duels de solos des gratteux, chose typique de la musique de Judas Priest et qu'on ne voudrait changer pour rien au monde.
Painkiller est une pièce maitresse de la musique metal. Ce disque est au Heavy ce que Season In The Abyss est au Thrash : une légende du genre.
Une chose qu'on pourrait quand même reprocher au groupe : les guitares, la voix et la batterie sont tellement misent en avant que la basse est quasiment inexistante, et même en tendant l'oreille on a beaucoup de mal à l'entendre. Mais c'est vraiment pour chercher la petite bête et trouver un défaut, car il faut dire que Judas Priest a frappé fort avec cet opus.
Beaucoup de pistes de Painkiller sont devenu des classiques : la piste éponyme pour sa rage, Metal Meltdown pour son introduction en duel de solo, Leather Rebel et son refrain et ses riffs épiques, Hell Patrol ou encore One Shot At Glory.
Un album à posséder à tout prix dans sa discographie !
+ r�agir [ 7 commentaires ]
Suite à un bon Ram It Down, on ne s'attendait surement pas à ça du côté des fans du Metal God, car ce Painkiller n'a rien à voir avec les précédents opus du quintette britannique.
Judas Priest a certainement dû sentir la colère monter suite au départ de son batteur, mais surtout après ses problèmes avec la justice et notamment contre certains catholiques (comme quoi en 20 ans les mentalités n'ont pas trop changés), car l'album donne l'impression d'avoir était fait avec la haine au ventre tellement il est hargneux.
Rien que la pochette semble énervée, sombre, elle représente le « Painkiller » sur un destrier de métal au dessus d'une ville dévastée. L'artwork annonce donc quelque chose de foncièrement énervé, mais la musique le sera-t-elle ? Un virage musical que les motards seraient en train d'amorcer ?
La réponse arrive dès que la bête est lancée avec la piste éponyme qui débute par quinze secondes de tempêtes rythmiques inhumaines digne d'un Testament. C'est Scott Travis qui remplace l'ancien batteur du groupe, inutile de préciser qu'il fait son effet et cela dès les premières secondes !
C'est ensuite les guitares qui s'ajoutent alors à l'implacable batterie puis la voix menaçante de Rob Halford. Habitués à des vocales plutôt mélodiques et sûr-aigües (enfin je vous rassure elles le sont toujours), toute cette hargne dans la voix de notre chanteur chauve a certainement surpris les fans de la première heure.
Cette puissance musicale est tellement présente tout le long qu'on en est à se demander si nous n'avons pas affaire à un CD de Thrash digne des plus grands moments de Metallica, ou encore de Slayer et Exodus. Il manque juste le son des guitares crasseusement saturées, typiques du Thrash Metal et l'entité n'aurait plus rien de Heavy.
Il reste quand même l'identité de Judas Priest gravé dans les riffs de guitares, riffs accrocheurs pour notre plus grand plaisir. Les dix pistes se démarquent par leurs riffs bien souvent épiques mais surtout très speed et les duels de solos des gratteux, chose typique de la musique de Judas Priest et qu'on ne voudrait changer pour rien au monde.
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