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Veliki Cirkus | paroles / lyrics
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01- Sam 2
02- Cupide
03- 101 Radio Racket
04- Clash
05- www.a/grave/pas/mon/k@
06- Hard Core 100% Fluor
07- Veliki Circus
08- Egalamonego
09- Sofa Masta
10- Tambata
11- Dead Man (Is A Good Man)
12- New Brutal Fonk
13- New Brutal End
02- Cupide
03- 101 Radio Racket
04- Clash
05- www.a/grave/pas/mon/k@
06- Hard Core 100% Fluor
07- Veliki Circus
08- Egalamonego
09- Sofa Masta
10- Tambata
11- Dead Man (Is A Good Man)
12- New Brutal Fonk
13- New Brutal End
Sam 2
Sam ! découvre le revers de la médaille, Sam découvre le revers de la médaille
Watcha possee, dédicace à Sam
Sam ! Souviens-toi de Sam défrayant la chronique, illustrant la rubrique des drames,
mais ça tourne au cauchemar, jusqu’au jour où la presse s’empara de l’histoire,
et c’est la gloire, et le ciné s’emballe, les interviews s’enchaînent, les chaînes se l’accaparent
sa vie se déballe sur des livres, dans des talk-shows
Le scénar déjà chaud Banderas dans sa peau visant les oscars de l’interprétation, vu sa prestation, c’est la consécration, ça va vite, bien trop vite, la réussite, sam le sait mais pourquoi tout ce mythe ? Car c’est pas la peine de faire d’la lèche, sam ne pensait pas décocher toutes ces flèches ! Sam !
Mais c’est le point de non-retour non ! Sam, ne pensait pas fréquenter ces vautours
Sam ! découvre le revers de la médaille, Sam découvre le revers de la médaille
Check that déjà Watcha avait relaté cette histoire !
Sam gravite en orbite autour d’un monde hermétique où l’élite qu’il évite n’est pas comme
ses rêves et ses principes, du jour au lendemain tu sers des milliers d’mains
Le star système, les gens qui dégainent des mains plus vite que des gun pour te broyer la tienne, le reflet du miroir, n’était pas si noir, mais bien trop tard, pour inverser la tendance faut y croire ! Sam
Mais c’est le point de non-retour non ! Sam ne pensait pas fréquenter ces vautours
Regarde tous ces hommes en blouses blanches ! Regarde un peu !
Miroir beau miroir, oh, dit moi ce que je fais là ! ce reflet qui se trouve là ce n’est pas vraiment moi. Démolis ta face ! miroir ! Miroir, miroir, dit-moi ce que je fais là ?
Cupide
Je ne réponds plus de rien, « rien », pas quand on me parle de possibilité de paix,
de pactes. Laissez-moi vous bercer, vous percer, vous bercer, vous percer d’éclats d’obus,
de balles et de bombes. Tu es lâche, ose me dire, ose prédire, ose redire que les choses tournent ronds dans le meilleur des mondes. C’est dément, demain le démon, même, demandera sa démission, son pardon, sa participation à des œuvres, à des bonnes actions
et que le diable s’emporte contre lui je l’emporte et j’empoche le business des âmes et des armes et des larmes. Je ne céderais pas, j’ai la part des rois, je ne, j’ne veux voir que du fric autour de moi !
Personne, personne n’est plus cupide que moi !
Personne, personne n’est plus cupide que « wicked » que moi !
Je ne suis d’aucune connivence, d’aucun parti, d’aucune tendance, non ! Je regarde pas la couleur de l’homme, mais l’impact de la balle qui le dégomme
Je te vois te poser des questions, est ce un fou ? L’Antéchrist est parmi nous ? Que nenni !
Car, qui connaît, qui connaît mieux l’homme que nous ? Que lui-même, que l’on nomme
« black powder », « mr rules », ah ! Je déboule, je me nourris, me bave dessus, quand un pays de brave se tape, se marche dessus.
J’attends, j’étends mon rayon d’action s’étend mais, non mais qu’est ce t’attends ?
Demandez-moi n’importe quoi ! Quoi ! N’importe quoi ! Pour hacher, tâcher, ruiner, fonce-dé, casser, concasser, faire de l’homme un passé dépassé, terrassé
Personne, personne n’est plus cupide que moi !
Personne, personne n’est plus cupide que « wicked » que moi !
Je n’ai pas de rivale, pas un seul à ma taille
Personne, personne n’est plus cupide que moi !
Personne, personne n’est plus cupide que « wicked » que moi !
L‘âme ment mais l’arme non, l’homme est mon meilleur client
Personne, personne n’est plus cupide que moi !
Personne, personne n’est plus cupide que « wicked » que moi !
L‘âme ment mais l’arme non, l’homme est mon meilleur client
101 Radio Racket
101 radio tapage, Butcho le taré est sur les ondes prêt à foutre le dawa
ouais ! c’est le jour J les mecs ! Le compte à rebours avant l’heure fatidique
Deux triple zéro, l’âge d’or où les voitures sont sensées voler
Et mon dieu tout autour de nous des symboles de la fin du monde
« booh » j’ai peur ! repentez-vous ! et sauvez vos âmes ! Alléluia !
alors maintenant à vos téléphone, quelqu’un est-il en ligne ?
Regardez ce que l’on a fait, la terre mère est partie, arrêtez les conneries
ou nous allons tous crever seuls
pourquoi ne prends tu pas le temps de regarder autour ?
regarde le coté positif, profites en, pas de problème mon pote !
Toutes les choses que je respire me rendent dépressif,
quelle connerie mec, rien est à nous
Vous êtes toujours à l’écoute de 101 radio tapage, mortel ! bien…nos potes ont l’air
pessimiste et torturé. Hey mes potos, qu’est c’qui se passe ?
calmos, cool on est pas sur CNN international
nous fêtons l’année 2000, sensass ! Dingue ! Furieux ! Dément ! Ouf ! Mortel !
et maintenant un nouvel auditeur…
Regardez ce que l’on a fait, la terre mère est partie, arrêtez les conneries
ou nous allons tous crever seuls
Toutes les choses que je respire me rendent dépressif,
quelle connerie mec, rien est à nous
Ne me faites pas avaler ça, ne me prenez pas pour un con,
les choses empirent chaque jour.
Des flash dans ma tête quand je t’entends dire « allez on va faire la fête » non !
101 radio tapage, Butcho le taré est sur les ondes prêt à foutre le dawa
Clash
Deux ans qu’elle garde ça pour elle, tout paraît loin mais si proche,
quand les images s’entrechoquent dans le chaos
Et encore un énième psychodrame, refoulé au fond des larmes,
que l’on cache comme une chose sale et souillée !
Si le silence est d’or, lancinant comme la mort, l’écho de son drame
résonne en vacarme avec en prime des séquelles irréversibles
Parle, déballe ton barda, parle, dévoile ce tar-ba, parle, déballe ton barda
A force de cacher l’ecchymose les pétales de la rose se flétrissent
et se meurent dans l’indifférence
Six mois sous valium valait mieux que de revivre le cauchemar
permanent dans sa mémoire, le silence reste le maître mot
Si le silence est d’or, lancinant comme la mort, l’écho de son drame
résonne en vacarme avec en prime des séquelles irréversibles
Parle, déballe ton barda, parle, dévoile ce tar-ba, parle, déballe ton barda
Les images dans ta tête s’enchaînent comme des flash-back, comme des coups de haches « pak » et sache que sans relâche, tu traîneras ce fardeau sur ton dos. Déballe ton barda, dévoile ce tar-ba, sinon c’est l’implosion, déballe ton barda, dévoile ce tar-ba
On finit par « clash » péter les plombs, par pitié épargne-moi le couplet bidon
de la culpabilité et parle moi et parle moi, tant que la soupape siffle, quand cessera le
« pshit »vite, décompresse vite, c’est la hélas, l’ultime, l’unique la seule solution,
seule issue de secours pour éviter la dépression
Alors déballe ton barda, dévoiles ce tar-ba sinon c’est l’implosion « clash »
Si le silence est d’or lancinant comme la mort
www.a/grave/pas/mon/k@
On est grave pas des re-sta alors grave pas mon vail-tra (X4)
Sers-toi d’ton graveur pour faire des copies Final Fantasy VII
Des skeuds de starlettes, des lavettes qui c’la pètent
Ratissent du gen-ar easy, genre Smith masta Willy, golden smily
Putain d’chiard richard assis sur des milliards et nous comme des crevards
sur le fil du rasoir, démerdards au nom d’la foire à nos frais gars !
Même si on s’ défraie pas, ça m’effraie pas, j’me tairais pas
Alors fait l’effort de faire péter le score 100% hard-core si tu veux qu’les
portes s’ouvrent pour toi et tes potes, qu’ont sortent, qu’ les esprits s’entrouvrent
qu’ensemble on se retrouve tous unis, réunis car j’voudrais pas qu’dans dix ans
le hard-core çai-fran soit encore là gisant, sous traitant, incompétent
dans un carcan. La chance au chanson, la France en chaussons me donne
des frissons, me fous la te-hon, car pour les anglo-saxons Pascal Sevran,
les çai-fran représente, saltimbanque en planque, j’attends que le rock me
flanque la clac !
Grave pas mon vail-tra, wouais mec, parce que j’suis le barracuda
j’te fous des que-cla, barracuda d’la java. Ensemble on va s’retrouver, tous unis
sur un tatami versus les Etats Unis, qui s’la moussent, qui c’la rebroussent,
touchent pipi, qui brassent des liasses, baisent des radasses, blèses,
à l’aise et se complaisent dans leurs caillasses, pétasses, radasses
qui ne jugent que par le ricain, j’sais que c’est bien, mais moi
j’défends les miens, mon crew Nowhere qui fait battre mon pouls, j’f’rais le casse cou,
le brise tout, mais tout mais pas le grippe sous, j’représente jusqu’au bout
prends-moi pour un cake là ou maintenant, j’en découds, alors maintenant tout le monde
debout, wouais ! yeah ! wouais ! tout le monde en anorak, allez on va mater Goldorack
Hard Core 100% Fluor
Mon planisphère n’a pas de limites, n’a pas de frontières, pas de plans de portes qui se ferment
L’ouverture est fraternelle. Passez le mot, possee pas si passif, Pleymo réactif, corrosif Hard-Core, technico-porn, Hard-Core 100% fluor
Tu crois qu’on pète dans la soie façon Lequesnois, qu’on est des stars qui touchent reuch comme Starsky & Hutch, qu’on avance en cadence, donne des baffes comme Hill Terrence et
Spencer Bud, achète mon skeud plutôt que des packs de Weiser Bud !
Résidant du Hard-core, la clique attaque et faut pas qu’tu craques
Transpirant le Hard-core, ça s’applique à toute la cliqua
Exaltant mon Hard-core, clic, clac j’te pique et « bah »
Résidant du Hard-core, la clique attaque et faux pas qu’tu craques
Transpirant le Hard-core, mon gimmick clack j’te pique jusqu’à
Exaltant mon Hard-core, clic, clac j’te pique et voilà !
C’est nécessaire de comparer les uns avec les autres, c’est un bon repaire, une référence, ça devient une allégeance. L’expression libre, l’underground est là mais parqué dans les placards et les ghettos core, sans remords, au rayon des meubles décors. L’ascension est rude, assassine et sanctionnée sans recours, la liberté de l’art désormais se compte en million dollars
Core, core, encore du core pour le sport, pas pour les pécores, j’suis l’porc-épic, clic, j’te pique dans ton éthique, cubique comme des mathématiques, méthodique man vénère, comme une bombe nucléaire, c’est quand y’a des watts que j’préfère faire l’inventaire de tous ces rockers en scooter, qui jouent au flipper et ç’la touche crâneur, s’lassent pas des zeu-fa, tocards, placards, rock à billy tricards en ton-car !
Résidant du Hard-core, la clique attaque et faux pas qu’tu craques
Transpirant le Hard-core, ça s’applique à toute la cliqua
Exaltant mon Hard-core, clic, clac j’te pique et « bah »
Résidant du Hard-core, la clique attaque et faux pas qu’tu craques
Transpirant le Hard-core, mon gimmick clack j’te pique jusqu’à
Exaltant mon Hard-core, clic, clac j’te pique et voilà !
La gimmick est la même, la gimmick, gimmick est la même la vibe inspire le même thème, la gimmick est la même la vibe inspire le même thème. L’hégémonie dans l’art qu’on a peur d’ébranler, car faut pas bousculer, déranger, ce qui est déjà fait, faut pas rivaliser non, surtout pas, l’ordre se doit d’être respecté
Veliki Circus
Dragi gledalaci veceras u nasom cirkusu, grupa Vatca!
Dragui glédalatsi vétchérace ou nachom tsirkoussou groupa vatcha
Chers spectateurs ce soir dans notre cirque le groupe watcha
koce biti, koce biti sledeci klaoun?(X3) Koce biti?
Kotché biti, kotché biti slédétchi klaoun? Kotché biti?
Qui serra le prochain clown? Qui sera?
Kraj, ovo je kraj tvoje vlade, ha ! ha ! ha ! ha !dragi lepi klaoune to je ”ho”
Kraye, ovo yé kraye tvoyé vladé, ha, ha, ha, ha! Dragui lépi klaouné to yé “ho”
Fin, c’est la fin de ton règne, mon très cher clown c’est, heu…
Kako da ti kazem to je sudbina, nema vise sale, nema vise sale, veliki cirkus oko tebe
Kako da ti kajaime to yé soudbina, néma viché chalé(X2), véliki tsirkousse oko tébé
Comment te dire…c’est le destin, on ne plaisante plus, c’est le grand cirque autour de toi
Pazi dobri dani su protekli pazi! pazi! pazi
Pazi dobri dani sou protékli pazi! Pazi! pazi
Attention car les beau jours sont passés! Alors attention, attention
Ha, staza je prazna, niko vise da se smeje, slusaj sve je tiho i mir, dirljivo i ocajno i bedno
stazayé prazna,niko viché da sé sméyé,slouchaye svéyé tihho i mir dirlivo i otchaïno i bédno
les gradins sont vides, plus personne pour rigoler, écoute tout est silencieux et calme, pathétique et misérable
To je kraj ! Nema, nema, nema vise sale! Nema ! Klaoune, klaoune ja se ne smejem, klaoune!
Toyé kraye ! Néma néma viché chalé! Néma ! Klaouné, klaouné ya sé né sméyem, kla ouné
C’est la fin ! On ne plaisante plus ! Très cher clown
Skini tvoj crveni nos, prepoznao sam te klaoune, suvise je komedia je trajala,
Skini tvoy tsrvéni nosse prépoznao samté klaouné souviché yé komédia yé trayala
Enlève ton nez rouge, je t’ai reconnu “clown” la plaisanterie a assez duré
pogledaj praznog stepenika jer, nema vise sale, nema vise sale, veliki cirkus oko tebe
poglédaye praznogue stépénika yér néma viché chalé(X2) véliki tsirkousse oko tébé
regarde tous ces gradins vides car on ne plaisante plus, c’est le grand cirque autour de toi
Odjekava se kao bomba, kao bomba, bomba!
Odyékavassé kao bomba, kao bomba bomba
Ça résonne comme une bombe comme une bombe!
Hej, prosla su vremena aplauze, silazi sa presta, jasnoca je tu samo ”ho”
Prochla sou vréména apla ouzé silazi sa présta yasnotcha yé tou samo
Le temps des applaudissements est révolu, descends de ton piédestal quand la réalité est là
Pogledaj u ocima stvarnost, nema vise sale, nema vise sale, veliki cirkus oko tebe
Poglédaye ou otchima stvarnost néma viché chalé, véliki tsirkousse oko tébé
Regarde la réalité sous tes yeux, on ne plaisante plus, le grand cirque autour de toi
veliki cirkus oko tebe, veliki cirkus oko tebe, to je kraj!
véliki tsirkousse oko tébé, véliki tsirkousse oko tébé,to yé kraye
c’est le grand cirque autour de toi, c’est la fin!
Nema, nema, nema vise sale! Nema, nema, nema vise sale! Nema, nema, nema vise sale!
Néma néma viché chalé
On ne plaisante plus
Nema, nema, nema, nema, nema vise sale! klaoune, klaoune ja se ne smejem, klaoune!
Néma néma viché chalé! Klaouné ya sé né sméyem, klaouné
On ne plaisante plus! Je ne rigole plus mon clown!
Sad! Veliki cirkus! koce biti, koce biti sledeci klaoun?(X3) Koce biti?
Sad véliki tsirkousse!kotché biti kotché biti slédétchi klaoun? Kotché biti
Maintenant c’est le grand cirque! Mais qui sera le prochain clown ?
Egalamonego
Hello, regarde le sommet de ma gloire
Idolâtré et vénéré
Mon nom déchaîne les passions, les pulsions
L'inspiration, les égards !
Hello ! le rideau tombe, on démaquille les fards
Illusionniste et arriviste, la toile se tisse
Se tisse et se glisse à mes services
Le monde est loin en bas et l'on m'acclame alors
Laissez-moi juste un instant
Pour retrouver ma place qui suscite tant de rêves
Et de fantasmes, je mets mon masque.
Hello ! Je compatis à la misère
La morale ! Rien à battre de tout ce peuple insignifiant
L’important c'est l'apparence amicale
Hello ! Je vends mon âme et je profane
Sans remords dans ma tête
J’étudie l'attitude de l'autre, la toile s'étend
S'étend, ça me détend
Les gens me parlent et me sourient
Et voudraient bien vivre ma vie
Alors je mets le masque des mortels et je leur dis ces mots:
"Je vous envie d'avoir une vie"
L'esprit malléable des gens est une arme redoutable
Refrain:
EGALAMONEGO, le sens de ma voix résonne faux, EGALAMONEGO ! x 3
Pont :
L'égo taf pour moi et ma gloire
L'égo bosse pour moi mon nom restera dans l'histoire
L'égo taf pour moi et ma gloire
L'égo bosse pour moi mon nom restera dans l'histoire
L'égo, l'égo, bosse pour moi l'égo, l'égo taf pour moi
L'égo, l'égo bosse pour moi mon nom restera dans l'histoire
L'égo, l'égo, bosse pour moi l'égo, l'égo taf pour moi
L'égo, l'égo bosse pour moi mon nom restera dans l'histoire.
Refrain
Sofa Masta
J'passe toutes mes journées à looser, parasiter, glander !
J'n'hésite pas a squatter le canapé sans pitié !
Pousse-toi, pousse-toi, non je ne bougerais pas d'un doigt !
Mais laisse-moi, laisse-moi, ça fait dix ans qu'ça dure !
Non, je n'veux pas d'un job
Mon sofa suffit a ma quiétude
J'm'inquiéte pas, moi, mais qui es- tu pour m'accabler, toi?
Pourquoi, pourquoi, me forcer à travailler ?
Alors, laisse-moi, laisse-moi, ça fait dix ans qu'ça dure !
Pre-Refrain:
N'insistez pas si je passe mon tour ! x 2
Mais quels sont vos projets sociaux ?
Vos occupations mondaines ?
Tout le monde a un but, une motivation certaine !
Sauf moi, sauf moi !
Devant l'assistante sociale, je dis
Laisse-moi, laisse-moi
Ca fait dix ans qu'ça dure !
Je ne veux pas de votre aide, de vos leçons de morales !
Vos idées sur la vie n'ont rien de transcendantale !
N'est-ce pas, n'est-ce pas, à chacun de choisir sa voie !
Alors, laisse-moi, laisse-moi, laisse !
Pre-Refrain
Refrain:
J'insiste, je signe et je persiste, traitez-moi de fumiste car tel est mon rôle ! x 2
Laissez-moi vivre, laissez-moi vivre, laissez-moi !
Laissez-moi vivre, laissez-moi vivre, laissez-moi vivre !
Pre-Refrain
J'insiste, je signe et je persiste, traitez-moi de fumiste car tel est mon rôle ! x 2
Pont:
Je cultive, ma culture de coller au canapé, capitonné, camouflé
Je canalise le vide, pour en faire du rien
Je vide le trop plein, le vide devient mon tout, plus rien ne subside
Je cultive, ma culture de coller au canapé, capitonné, camouflé
Je canalise le vide, pour en faire du rien
Je vide le trop plein, le vide devient mon tout, plus rien ne subside
Alors laisse-moi, laisse-moi
Non je ne bougerais pas, ça fait dix ans qu'ça dure !
Laisse-moi, laisse-moi ! x 2
10 ans qu'ça dure x 2
Laisse-moi !
Pont 2 :
Kositi damikajesh chta da radim bouh !
Dix ans qu'ça dure x 2
Pa chta !
Vodim jivote kao grof, danas I yosh ! x 2
On m'f'ra pas faire !
Ce que le système dit de faire
Ce que le système dit de dire
Ce que le système dit de croire
Ce que le système dit de voir
Alors quoi ?
Kositi damikajesh chta da radim bouh !
Nemoy ! bouh ! x 2
Kositi damikajesh chta da radim bouh ! x 2
Dix ans qu'ça dure !
Tambata
Les routes que j’emprunte sont parsemées de pavés, de collines et de rochers
Quelquefois haut, mais bien souvent c’est la chute libre
Mon salut me regarde ainsi que mes rêves, tout le monde à une musique en soi
Le car s’arrête, je pense à TAMBATA, tout le monde part mais je reste à l’intérieur
Le car s’arrête une nouvelle fois
De dures épreuves me rendent plus fort et suspicieux,
Il n’y plus de choix, j’ai été trop loin et c’est sans retour
Mon salut me regarde ainsi que mes rêves, tout le monde à une musique en soi
Le car s’arrête, je pense à TAMBATA, tout le monde part mais je reste à l’intérieur
Le car s’arrête une nouvelle fois
J’ai appris comment vivre et comment trouver mon chemin. Le seul pour moi car je regarde pas en arrière vers mon passé. Tout seul sans aide j’ai appris !
Je m’en fou de ce que pense les gens, tout seul…kanayamasha
Le car s’arrête, je pense à TAMBATA, tout le monde part mais je reste à l’intérieur
Le car s’arrête une nouvelle fois
Je ne veux pas me réveiller avec mes frustrations, mes propres démons autours
Vivre dans le passé, non ! je suis ma route vers TAMBATA
Le car s’arrête tout le monde s’en va mais je reste à l’intérieur, c’est ma vie
Mon TAMBATA (quoi ?) est dur à atteindre (quoi ?)
Est dur à avoir (quoi ?) j’abandonne pas non !
C’est dur à atteindre (quoi ?) dur à avoir (quoi ?)
C’est dur à atteindre (quoi ?) mon TAMBATA m’insuffle la foi
Le car s’arrête et m’amène à TAMBATA
Le car s’arrête, je pense à TAMBATA, tout le monde part mais je reste a l’intérieur
Le car s’arrête une nouvelle fois
Dead Man (Is A Good Man)
Déjà sur ma tombe une hécatombe de fleurs, de larmes déferlent comme des bombes
J’entends les éloges teintés d’intox et de paradoxes. Parades pour masquer les faits, l’épitaphe est faussée. Tant d’honneur pour ma mémoire pour une vie dérisoire
Mais il faut qu’t’arrêtes, tu sais c’est que du flan, j’le sais, quel hypocrite
Hier encore tu parlais dans mon dos, c’est pathétique
Parlez, parlez-moi, parlez-moi de tout, de sexe, de crime, de fric, de came,
mais pas d’une vie sainte, c’n’est pas moi, « realize »
C’n’est pas moi ! pas moi. Parlez sans détour ou détournez-vous de moi
De la mort, j’entends, je sens vos mensonges, mensonges, c’n’est pas moi ! pas moi
Faudrait pas que tu t’enflammes, non pas que tu m’acclames, non pas que tu restes là
Faudrait pas que tu fasses semblant d’avoir compté pour moi
L’édifice sur lequel on écrit tous ces vers et prières n’est que virtuel, ça doit être une autre personne que moi, j’me reconnais pas
Mais il faut qu’t’arrêtes, tu sais c’est que du flan, j’le sais, quel hypocrite
Hier encore tu parlais dans mon dos, c’est pathétique
Parlez, parlez-moi, parlez-moi de tout, de sexe, de crime, de fric, de came,
mais pas d’une vie sainte, c’n’est pas moi, « realize »
C’n’est pas moi ! pas moi. Parlez sans détour ou détournez-vous de moi
De la mort, j’entends, je sens vos mensonges, mensonges, c’n’est pas moi ! pas moi
Non ma vie ne fut qu’une leçon, pas besoin de tous ces décors, pas la peine de pleurer pour moi, pas la peine de t’occuper de mon sort, de mon sort
New Brutal Fonk
Mes très chers frères et sœurs, la vie est un présent, et comme un don du ciel comment quelqu’un ou des sortes de profanes mettent en doute la création de Dieu ? pliez-vous au pouvoir du Seigneur et écoutez mes mots de sagesse, car au commencement Dieu a créé Adam et Eve…Bien, mais Darwin dans tout ça ?
Je ne veux pas écouter, je ne veux pas en parler, je ne veux pas écouter car Darwin était un menteur !
Salut mon cher quel plaisir de parler avec vous enfin, putain mais de quoi parlez-vous je suis abasourdi et mon sang ne fait qu’un tour !
Pourquoi refusez-vous d’affronter les faits quand c’est en face de vous ? C’est évident, c’est triste, il y a gouffre, quel merdier, arrêtez de déconner !
Dites-moi où nous allons ? un bond en arrière, je crois bien !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, je ne veux rien entendre, fait moi plaisir !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, fait moi plaisir !
Toujours dans le bon vieux temps, immuable hors de portée, tous ces mots que vous prêchez
et proclamez sont une insulte pour l’humanité
peut-être que j’ai tort, je sais pas, mais il y a une chose dont je suis sûr : regardez la vérité
Si vous pensez que le monde est le même je peux dire que vous avez complètement faux
Dites-moi où nous allons ? un bond en arrière je crois bien !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, je ne veux rien entendre, fait moi plaisir !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, fait moi plaisir !
Oh seigneur je maintiens ce que j’ai dit ! Pas de compromissions, pas de repos, pas de paix pour mes ennemis, mes ennemis !
Et vous heurtez ma vie et moi ! Et vous heurtez ma vie et moi !
Dites-moi où nous allons ? un bond en arrière je crois bien !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, je ne veux rien entendre, fais moi plaisir !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, fait moi plaisir !
Quelle est la vraie loi ? Fait moi plaisir !
New Brutal End
[ Instrumental ]
Sam ! découvre le revers de la médaille, Sam découvre le revers de la médaille
Watcha possee, dédicace à Sam
Sam ! Souviens-toi de Sam défrayant la chronique, illustrant la rubrique des drames,
mais ça tourne au cauchemar, jusqu’au jour où la presse s’empara de l’histoire,
et c’est la gloire, et le ciné s’emballe, les interviews s’enchaînent, les chaînes se l’accaparent
sa vie se déballe sur des livres, dans des talk-shows
Le scénar déjà chaud Banderas dans sa peau visant les oscars de l’interprétation, vu sa prestation, c’est la consécration, ça va vite, bien trop vite, la réussite, sam le sait mais pourquoi tout ce mythe ? Car c’est pas la peine de faire d’la lèche, sam ne pensait pas décocher toutes ces flèches ! Sam !
Mais c’est le point de non-retour non ! Sam, ne pensait pas fréquenter ces vautours
Sam ! découvre le revers de la médaille, Sam découvre le revers de la médaille
Check that déjà Watcha avait relaté cette histoire !
Sam gravite en orbite autour d’un monde hermétique où l’élite qu’il évite n’est pas comme
ses rêves et ses principes, du jour au lendemain tu sers des milliers d’mains
Le star système, les gens qui dégainent des mains plus vite que des gun pour te broyer la tienne, le reflet du miroir, n’était pas si noir, mais bien trop tard, pour inverser la tendance faut y croire ! Sam
Mais c’est le point de non-retour non ! Sam ne pensait pas fréquenter ces vautours
Regarde tous ces hommes en blouses blanches ! Regarde un peu !
Miroir beau miroir, oh, dit moi ce que je fais là ! ce reflet qui se trouve là ce n’est pas vraiment moi. Démolis ta face ! miroir ! Miroir, miroir, dit-moi ce que je fais là ?
Cupide
Je ne réponds plus de rien, « rien », pas quand on me parle de possibilité de paix,
de pactes. Laissez-moi vous bercer, vous percer, vous bercer, vous percer d’éclats d’obus,
de balles et de bombes. Tu es lâche, ose me dire, ose prédire, ose redire que les choses tournent ronds dans le meilleur des mondes. C’est dément, demain le démon, même, demandera sa démission, son pardon, sa participation à des œuvres, à des bonnes actions
et que le diable s’emporte contre lui je l’emporte et j’empoche le business des âmes et des armes et des larmes. Je ne céderais pas, j’ai la part des rois, je ne, j’ne veux voir que du fric autour de moi !
Personne, personne n’est plus cupide que moi !
Personne, personne n’est plus cupide que « wicked » que moi !
Je ne suis d’aucune connivence, d’aucun parti, d’aucune tendance, non ! Je regarde pas la couleur de l’homme, mais l’impact de la balle qui le dégomme
Je te vois te poser des questions, est ce un fou ? L’Antéchrist est parmi nous ? Que nenni !
Car, qui connaît, qui connaît mieux l’homme que nous ? Que lui-même, que l’on nomme
« black powder », « mr rules », ah ! Je déboule, je me nourris, me bave dessus, quand un pays de brave se tape, se marche dessus.
J’attends, j’étends mon rayon d’action s’étend mais, non mais qu’est ce t’attends ?
Demandez-moi n’importe quoi ! Quoi ! N’importe quoi ! Pour hacher, tâcher, ruiner, fonce-dé, casser, concasser, faire de l’homme un passé dépassé, terrassé
Personne, personne n’est plus cupide que moi !
Personne, personne n’est plus cupide que « wicked » que moi !
Je n’ai pas de rivale, pas un seul à ma taille
Personne, personne n’est plus cupide que moi !
Personne, personne n’est plus cupide que « wicked » que moi !
L‘âme ment mais l’arme non, l’homme est mon meilleur client
Personne, personne n’est plus cupide que moi !
Personne, personne n’est plus cupide que « wicked » que moi !
L‘âme ment mais l’arme non, l’homme est mon meilleur client
101 Radio Racket
101 radio tapage, Butcho le taré est sur les ondes prêt à foutre le dawa
ouais ! c’est le jour J les mecs ! Le compte à rebours avant l’heure fatidique
Deux triple zéro, l’âge d’or où les voitures sont sensées voler
Et mon dieu tout autour de nous des symboles de la fin du monde
« booh » j’ai peur ! repentez-vous ! et sauvez vos âmes ! Alléluia !
alors maintenant à vos téléphone, quelqu’un est-il en ligne ?
Regardez ce que l’on a fait, la terre mère est partie, arrêtez les conneries
ou nous allons tous crever seuls
pourquoi ne prends tu pas le temps de regarder autour ?
regarde le coté positif, profites en, pas de problème mon pote !
Toutes les choses que je respire me rendent dépressif,
quelle connerie mec, rien est à nous
Vous êtes toujours à l’écoute de 101 radio tapage, mortel ! bien…nos potes ont l’air
pessimiste et torturé. Hey mes potos, qu’est c’qui se passe ?
calmos, cool on est pas sur CNN international
nous fêtons l’année 2000, sensass ! Dingue ! Furieux ! Dément ! Ouf ! Mortel !
et maintenant un nouvel auditeur…
Regardez ce que l’on a fait, la terre mère est partie, arrêtez les conneries
ou nous allons tous crever seuls
Toutes les choses que je respire me rendent dépressif,
quelle connerie mec, rien est à nous
Ne me faites pas avaler ça, ne me prenez pas pour un con,
les choses empirent chaque jour.
Des flash dans ma tête quand je t’entends dire « allez on va faire la fête » non !
101 radio tapage, Butcho le taré est sur les ondes prêt à foutre le dawa
Clash
Deux ans qu’elle garde ça pour elle, tout paraît loin mais si proche,
quand les images s’entrechoquent dans le chaos
Et encore un énième psychodrame, refoulé au fond des larmes,
que l’on cache comme une chose sale et souillée !
Si le silence est d’or, lancinant comme la mort, l’écho de son drame
résonne en vacarme avec en prime des séquelles irréversibles
Parle, déballe ton barda, parle, dévoile ce tar-ba, parle, déballe ton barda
A force de cacher l’ecchymose les pétales de la rose se flétrissent
et se meurent dans l’indifférence
Six mois sous valium valait mieux que de revivre le cauchemar
permanent dans sa mémoire, le silence reste le maître mot
Si le silence est d’or, lancinant comme la mort, l’écho de son drame
résonne en vacarme avec en prime des séquelles irréversibles
Parle, déballe ton barda, parle, dévoile ce tar-ba, parle, déballe ton barda
Les images dans ta tête s’enchaînent comme des flash-back, comme des coups de haches « pak » et sache que sans relâche, tu traîneras ce fardeau sur ton dos. Déballe ton barda, dévoile ce tar-ba, sinon c’est l’implosion, déballe ton barda, dévoile ce tar-ba
On finit par « clash » péter les plombs, par pitié épargne-moi le couplet bidon
de la culpabilité et parle moi et parle moi, tant que la soupape siffle, quand cessera le
« pshit »vite, décompresse vite, c’est la hélas, l’ultime, l’unique la seule solution,
seule issue de secours pour éviter la dépression
Alors déballe ton barda, dévoiles ce tar-ba sinon c’est l’implosion « clash »
Si le silence est d’or lancinant comme la mort
www.a/grave/pas/mon/k@
On est grave pas des re-sta alors grave pas mon vail-tra (X4)
Sers-toi d’ton graveur pour faire des copies Final Fantasy VII
Des skeuds de starlettes, des lavettes qui c’la pètent
Ratissent du gen-ar easy, genre Smith masta Willy, golden smily
Putain d’chiard richard assis sur des milliards et nous comme des crevards
sur le fil du rasoir, démerdards au nom d’la foire à nos frais gars !
Même si on s’ défraie pas, ça m’effraie pas, j’me tairais pas
Alors fait l’effort de faire péter le score 100% hard-core si tu veux qu’les
portes s’ouvrent pour toi et tes potes, qu’ont sortent, qu’ les esprits s’entrouvrent
qu’ensemble on se retrouve tous unis, réunis car j’voudrais pas qu’dans dix ans
le hard-core çai-fran soit encore là gisant, sous traitant, incompétent
dans un carcan. La chance au chanson, la France en chaussons me donne
des frissons, me fous la te-hon, car pour les anglo-saxons Pascal Sevran,
les çai-fran représente, saltimbanque en planque, j’attends que le rock me
flanque la clac !
Grave pas mon vail-tra, wouais mec, parce que j’suis le barracuda
j’te fous des que-cla, barracuda d’la java. Ensemble on va s’retrouver, tous unis
sur un tatami versus les Etats Unis, qui s’la moussent, qui c’la rebroussent,
touchent pipi, qui brassent des liasses, baisent des radasses, blèses,
à l’aise et se complaisent dans leurs caillasses, pétasses, radasses
qui ne jugent que par le ricain, j’sais que c’est bien, mais moi
j’défends les miens, mon crew Nowhere qui fait battre mon pouls, j’f’rais le casse cou,
le brise tout, mais tout mais pas le grippe sous, j’représente jusqu’au bout
prends-moi pour un cake là ou maintenant, j’en découds, alors maintenant tout le monde
debout, wouais ! yeah ! wouais ! tout le monde en anorak, allez on va mater Goldorack
Hard Core 100% Fluor
Mon planisphère n’a pas de limites, n’a pas de frontières, pas de plans de portes qui se ferment
L’ouverture est fraternelle. Passez le mot, possee pas si passif, Pleymo réactif, corrosif Hard-Core, technico-porn, Hard-Core 100% fluor
Tu crois qu’on pète dans la soie façon Lequesnois, qu’on est des stars qui touchent reuch comme Starsky & Hutch, qu’on avance en cadence, donne des baffes comme Hill Terrence et
Spencer Bud, achète mon skeud plutôt que des packs de Weiser Bud !
Résidant du Hard-core, la clique attaque et faut pas qu’tu craques
Transpirant le Hard-core, ça s’applique à toute la cliqua
Exaltant mon Hard-core, clic, clac j’te pique et « bah »
Résidant du Hard-core, la clique attaque et faux pas qu’tu craques
Transpirant le Hard-core, mon gimmick clack j’te pique jusqu’à
Exaltant mon Hard-core, clic, clac j’te pique et voilà !
C’est nécessaire de comparer les uns avec les autres, c’est un bon repaire, une référence, ça devient une allégeance. L’expression libre, l’underground est là mais parqué dans les placards et les ghettos core, sans remords, au rayon des meubles décors. L’ascension est rude, assassine et sanctionnée sans recours, la liberté de l’art désormais se compte en million dollars
Core, core, encore du core pour le sport, pas pour les pécores, j’suis l’porc-épic, clic, j’te pique dans ton éthique, cubique comme des mathématiques, méthodique man vénère, comme une bombe nucléaire, c’est quand y’a des watts que j’préfère faire l’inventaire de tous ces rockers en scooter, qui jouent au flipper et ç’la touche crâneur, s’lassent pas des zeu-fa, tocards, placards, rock à billy tricards en ton-car !
Résidant du Hard-core, la clique attaque et faux pas qu’tu craques
Transpirant le Hard-core, ça s’applique à toute la cliqua
Exaltant mon Hard-core, clic, clac j’te pique et « bah »
Résidant du Hard-core, la clique attaque et faux pas qu’tu craques
Transpirant le Hard-core, mon gimmick clack j’te pique jusqu’à
Exaltant mon Hard-core, clic, clac j’te pique et voilà !
La gimmick est la même, la gimmick, gimmick est la même la vibe inspire le même thème, la gimmick est la même la vibe inspire le même thème. L’hégémonie dans l’art qu’on a peur d’ébranler, car faut pas bousculer, déranger, ce qui est déjà fait, faut pas rivaliser non, surtout pas, l’ordre se doit d’être respecté
Veliki Circus
Dragi gledalaci veceras u nasom cirkusu, grupa Vatca!
Dragui glédalatsi vétchérace ou nachom tsirkoussou groupa vatcha
Chers spectateurs ce soir dans notre cirque le groupe watcha
koce biti, koce biti sledeci klaoun?(X3) Koce biti?
Kotché biti, kotché biti slédétchi klaoun? Kotché biti?
Qui serra le prochain clown? Qui sera?
Kraj, ovo je kraj tvoje vlade, ha ! ha ! ha ! ha !dragi lepi klaoune to je ”ho”
Kraye, ovo yé kraye tvoyé vladé, ha, ha, ha, ha! Dragui lépi klaouné to yé “ho”
Fin, c’est la fin de ton règne, mon très cher clown c’est, heu…
Kako da ti kazem to je sudbina, nema vise sale, nema vise sale, veliki cirkus oko tebe
Kako da ti kajaime to yé soudbina, néma viché chalé(X2), véliki tsirkousse oko tébé
Comment te dire…c’est le destin, on ne plaisante plus, c’est le grand cirque autour de toi
Pazi dobri dani su protekli pazi! pazi! pazi
Pazi dobri dani sou protékli pazi! Pazi! pazi
Attention car les beau jours sont passés! Alors attention, attention
Ha, staza je prazna, niko vise da se smeje, slusaj sve je tiho i mir, dirljivo i ocajno i bedno
stazayé prazna,niko viché da sé sméyé,slouchaye svéyé tihho i mir dirlivo i otchaïno i bédno
les gradins sont vides, plus personne pour rigoler, écoute tout est silencieux et calme, pathétique et misérable
To je kraj ! Nema, nema, nema vise sale! Nema ! Klaoune, klaoune ja se ne smejem, klaoune!
Toyé kraye ! Néma néma viché chalé! Néma ! Klaouné, klaouné ya sé né sméyem, kla ouné
C’est la fin ! On ne plaisante plus ! Très cher clown
Skini tvoj crveni nos, prepoznao sam te klaoune, suvise je komedia je trajala,
Skini tvoy tsrvéni nosse prépoznao samté klaouné souviché yé komédia yé trayala
Enlève ton nez rouge, je t’ai reconnu “clown” la plaisanterie a assez duré
pogledaj praznog stepenika jer, nema vise sale, nema vise sale, veliki cirkus oko tebe
poglédaye praznogue stépénika yér néma viché chalé(X2) véliki tsirkousse oko tébé
regarde tous ces gradins vides car on ne plaisante plus, c’est le grand cirque autour de toi
Odjekava se kao bomba, kao bomba, bomba!
Odyékavassé kao bomba, kao bomba bomba
Ça résonne comme une bombe comme une bombe!
Hej, prosla su vremena aplauze, silazi sa presta, jasnoca je tu samo ”ho”
Prochla sou vréména apla ouzé silazi sa présta yasnotcha yé tou samo
Le temps des applaudissements est révolu, descends de ton piédestal quand la réalité est là
Pogledaj u ocima stvarnost, nema vise sale, nema vise sale, veliki cirkus oko tebe
Poglédaye ou otchima stvarnost néma viché chalé, véliki tsirkousse oko tébé
Regarde la réalité sous tes yeux, on ne plaisante plus, le grand cirque autour de toi
veliki cirkus oko tebe, veliki cirkus oko tebe, to je kraj!
véliki tsirkousse oko tébé, véliki tsirkousse oko tébé,to yé kraye
c’est le grand cirque autour de toi, c’est la fin!
Nema, nema, nema vise sale! Nema, nema, nema vise sale! Nema, nema, nema vise sale!
Néma néma viché chalé
On ne plaisante plus
Nema, nema, nema, nema, nema vise sale! klaoune, klaoune ja se ne smejem, klaoune!
Néma néma viché chalé! Klaouné ya sé né sméyem, klaouné
On ne plaisante plus! Je ne rigole plus mon clown!
Sad! Veliki cirkus! koce biti, koce biti sledeci klaoun?(X3) Koce biti?
Sad véliki tsirkousse!kotché biti kotché biti slédétchi klaoun? Kotché biti
Maintenant c’est le grand cirque! Mais qui sera le prochain clown ?
Egalamonego
Hello, regarde le sommet de ma gloire
Idolâtré et vénéré
Mon nom déchaîne les passions, les pulsions
L'inspiration, les égards !
Hello ! le rideau tombe, on démaquille les fards
Illusionniste et arriviste, la toile se tisse
Se tisse et se glisse à mes services
Le monde est loin en bas et l'on m'acclame alors
Laissez-moi juste un instant
Pour retrouver ma place qui suscite tant de rêves
Et de fantasmes, je mets mon masque.
Hello ! Je compatis à la misère
La morale ! Rien à battre de tout ce peuple insignifiant
L’important c'est l'apparence amicale
Hello ! Je vends mon âme et je profane
Sans remords dans ma tête
J’étudie l'attitude de l'autre, la toile s'étend
S'étend, ça me détend
Les gens me parlent et me sourient
Et voudraient bien vivre ma vie
Alors je mets le masque des mortels et je leur dis ces mots:
"Je vous envie d'avoir une vie"
L'esprit malléable des gens est une arme redoutable
Refrain:
EGALAMONEGO, le sens de ma voix résonne faux, EGALAMONEGO ! x 3
Pont :
L'égo taf pour moi et ma gloire
L'égo bosse pour moi mon nom restera dans l'histoire
L'égo taf pour moi et ma gloire
L'égo bosse pour moi mon nom restera dans l'histoire
L'égo, l'égo, bosse pour moi l'égo, l'égo taf pour moi
L'égo, l'égo bosse pour moi mon nom restera dans l'histoire
L'égo, l'égo, bosse pour moi l'égo, l'égo taf pour moi
L'égo, l'égo bosse pour moi mon nom restera dans l'histoire.
Refrain
Sofa Masta
J'passe toutes mes journées à looser, parasiter, glander !
J'n'hésite pas a squatter le canapé sans pitié !
Pousse-toi, pousse-toi, non je ne bougerais pas d'un doigt !
Mais laisse-moi, laisse-moi, ça fait dix ans qu'ça dure !
Non, je n'veux pas d'un job
Mon sofa suffit a ma quiétude
J'm'inquiéte pas, moi, mais qui es- tu pour m'accabler, toi?
Pourquoi, pourquoi, me forcer à travailler ?
Alors, laisse-moi, laisse-moi, ça fait dix ans qu'ça dure !
Pre-Refrain:
N'insistez pas si je passe mon tour ! x 2
Mais quels sont vos projets sociaux ?
Vos occupations mondaines ?
Tout le monde a un but, une motivation certaine !
Sauf moi, sauf moi !
Devant l'assistante sociale, je dis
Laisse-moi, laisse-moi
Ca fait dix ans qu'ça dure !
Je ne veux pas de votre aide, de vos leçons de morales !
Vos idées sur la vie n'ont rien de transcendantale !
N'est-ce pas, n'est-ce pas, à chacun de choisir sa voie !
Alors, laisse-moi, laisse-moi, laisse !
Pre-Refrain
Refrain:
J'insiste, je signe et je persiste, traitez-moi de fumiste car tel est mon rôle ! x 2
Laissez-moi vivre, laissez-moi vivre, laissez-moi !
Laissez-moi vivre, laissez-moi vivre, laissez-moi vivre !
Pre-Refrain
J'insiste, je signe et je persiste, traitez-moi de fumiste car tel est mon rôle ! x 2
Pont:
Je cultive, ma culture de coller au canapé, capitonné, camouflé
Je canalise le vide, pour en faire du rien
Je vide le trop plein, le vide devient mon tout, plus rien ne subside
Je cultive, ma culture de coller au canapé, capitonné, camouflé
Je canalise le vide, pour en faire du rien
Je vide le trop plein, le vide devient mon tout, plus rien ne subside
Alors laisse-moi, laisse-moi
Non je ne bougerais pas, ça fait dix ans qu'ça dure !
Laisse-moi, laisse-moi ! x 2
10 ans qu'ça dure x 2
Laisse-moi !
Pont 2 :
Kositi damikajesh chta da radim bouh !
Dix ans qu'ça dure x 2
Pa chta !
Vodim jivote kao grof, danas I yosh ! x 2
On m'f'ra pas faire !
Ce que le système dit de faire
Ce que le système dit de dire
Ce que le système dit de croire
Ce que le système dit de voir
Alors quoi ?
Kositi damikajesh chta da radim bouh !
Nemoy ! bouh ! x 2
Kositi damikajesh chta da radim bouh ! x 2
Dix ans qu'ça dure !
Tambata
Les routes que j’emprunte sont parsemées de pavés, de collines et de rochers
Quelquefois haut, mais bien souvent c’est la chute libre
Mon salut me regarde ainsi que mes rêves, tout le monde à une musique en soi
Le car s’arrête, je pense à TAMBATA, tout le monde part mais je reste à l’intérieur
Le car s’arrête une nouvelle fois
De dures épreuves me rendent plus fort et suspicieux,
Il n’y plus de choix, j’ai été trop loin et c’est sans retour
Mon salut me regarde ainsi que mes rêves, tout le monde à une musique en soi
Le car s’arrête, je pense à TAMBATA, tout le monde part mais je reste à l’intérieur
Le car s’arrête une nouvelle fois
J’ai appris comment vivre et comment trouver mon chemin. Le seul pour moi car je regarde pas en arrière vers mon passé. Tout seul sans aide j’ai appris !
Je m’en fou de ce que pense les gens, tout seul…kanayamasha
Le car s’arrête, je pense à TAMBATA, tout le monde part mais je reste à l’intérieur
Le car s’arrête une nouvelle fois
Je ne veux pas me réveiller avec mes frustrations, mes propres démons autours
Vivre dans le passé, non ! je suis ma route vers TAMBATA
Le car s’arrête tout le monde s’en va mais je reste à l’intérieur, c’est ma vie
Mon TAMBATA (quoi ?) est dur à atteindre (quoi ?)
Est dur à avoir (quoi ?) j’abandonne pas non !
C’est dur à atteindre (quoi ?) dur à avoir (quoi ?)
C’est dur à atteindre (quoi ?) mon TAMBATA m’insuffle la foi
Le car s’arrête et m’amène à TAMBATA
Le car s’arrête, je pense à TAMBATA, tout le monde part mais je reste a l’intérieur
Le car s’arrête une nouvelle fois
Dead Man (Is A Good Man)
Déjà sur ma tombe une hécatombe de fleurs, de larmes déferlent comme des bombes
J’entends les éloges teintés d’intox et de paradoxes. Parades pour masquer les faits, l’épitaphe est faussée. Tant d’honneur pour ma mémoire pour une vie dérisoire
Mais il faut qu’t’arrêtes, tu sais c’est que du flan, j’le sais, quel hypocrite
Hier encore tu parlais dans mon dos, c’est pathétique
Parlez, parlez-moi, parlez-moi de tout, de sexe, de crime, de fric, de came,
mais pas d’une vie sainte, c’n’est pas moi, « realize »
C’n’est pas moi ! pas moi. Parlez sans détour ou détournez-vous de moi
De la mort, j’entends, je sens vos mensonges, mensonges, c’n’est pas moi ! pas moi
Faudrait pas que tu t’enflammes, non pas que tu m’acclames, non pas que tu restes là
Faudrait pas que tu fasses semblant d’avoir compté pour moi
L’édifice sur lequel on écrit tous ces vers et prières n’est que virtuel, ça doit être une autre personne que moi, j’me reconnais pas
Mais il faut qu’t’arrêtes, tu sais c’est que du flan, j’le sais, quel hypocrite
Hier encore tu parlais dans mon dos, c’est pathétique
Parlez, parlez-moi, parlez-moi de tout, de sexe, de crime, de fric, de came,
mais pas d’une vie sainte, c’n’est pas moi, « realize »
C’n’est pas moi ! pas moi. Parlez sans détour ou détournez-vous de moi
De la mort, j’entends, je sens vos mensonges, mensonges, c’n’est pas moi ! pas moi
Non ma vie ne fut qu’une leçon, pas besoin de tous ces décors, pas la peine de pleurer pour moi, pas la peine de t’occuper de mon sort, de mon sort
New Brutal Fonk
Mes très chers frères et sœurs, la vie est un présent, et comme un don du ciel comment quelqu’un ou des sortes de profanes mettent en doute la création de Dieu ? pliez-vous au pouvoir du Seigneur et écoutez mes mots de sagesse, car au commencement Dieu a créé Adam et Eve…Bien, mais Darwin dans tout ça ?
Je ne veux pas écouter, je ne veux pas en parler, je ne veux pas écouter car Darwin était un menteur !
Salut mon cher quel plaisir de parler avec vous enfin, putain mais de quoi parlez-vous je suis abasourdi et mon sang ne fait qu’un tour !
Pourquoi refusez-vous d’affronter les faits quand c’est en face de vous ? C’est évident, c’est triste, il y a gouffre, quel merdier, arrêtez de déconner !
Dites-moi où nous allons ? un bond en arrière, je crois bien !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, je ne veux rien entendre, fait moi plaisir !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, fait moi plaisir !
Toujours dans le bon vieux temps, immuable hors de portée, tous ces mots que vous prêchez
et proclamez sont une insulte pour l’humanité
peut-être que j’ai tort, je sais pas, mais il y a une chose dont je suis sûr : regardez la vérité
Si vous pensez que le monde est le même je peux dire que vous avez complètement faux
Dites-moi où nous allons ? un bond en arrière je crois bien !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, je ne veux rien entendre, fait moi plaisir !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, fait moi plaisir !
Oh seigneur je maintiens ce que j’ai dit ! Pas de compromissions, pas de repos, pas de paix pour mes ennemis, mes ennemis !
Et vous heurtez ma vie et moi ! Et vous heurtez ma vie et moi !
Dites-moi où nous allons ? un bond en arrière je crois bien !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, je ne veux rien entendre, fais moi plaisir !
Lâche l’affaire, lâche l’affaire, fait moi plaisir !
Quelle est la vraie loi ? Fait moi plaisir !
New Brutal End
[ Instrumental ]
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