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Watcha | paroles / lyrics



X-Mas

I fuck every god damn celebrated day, but she minds insomuch that no one
And nothing’s so important than x mas day
She doesn’t want to listen what I’ve planned in my mind
Well I can’t wait any longer like that, all I want is something more carnal
What d’ya think about the table ? Come and try!
Unforgetable’s fire consuming my veins
She likes x mas day
I’ve tried, yes I’ve tried to make her see reason but in vain, she wants to be pure
She said it’s a cure, holy day, high spiritual level or other fuckin’ crap
She likes x mas day
What a day, what a day, but not a fuckin’ day!
She likes x mas day
Inside I hear a rumble shattering my mind! And more, and more, and more
Hello, are you still there honey on the line ?
I wonder why, you look for complication, it’s an easy situation, you and I
Inside that vibration we’ll fly out of the world, oh no, no, no! She said
I do not want disgrace this holy day doing such a shame full thing on x mas day
I think I’m going mad!
She likes x mas day

Méchant Flou

Atomes en osmose, attirent je suppose, l’insatiable envie d’une part, d’un profit
L’horizon d’un futur plus que reluisant, grandiloquentes promesses sont au rendez-vous,
capitaine d’un navire qu’ils ne possèdent pas, dirigeant l’avenir ? sûrement pas !
Avant d’en sortir, c’est une étape à subir, Avant d’en sortir, c’est une étape à subir
Discours emphatiques me laissent très sceptique, on parle de confiance,
j’apprends la méfiance
Tournoyer, graviter sourire carnassier acéré, cible la victime facile à manipuler,
dépouiller, avec une telle voracité !
Tournoyer, graviter sourire carnassier acéré, cible la victime facile à manipuler,
dépouiller, avec une telle férocité ! Donnez-moi d’la chaire fraîche ! pour combler mes envies
Avant d’en sortir, c’est une étape à subir, avant d’en sortir, c’est une étape à subir
L’œil grand ouvert plongé dans le grand méchant flou, grand méchant flou

Concrete Lie

Le mensonge de béton est une inflexible part de notre réalité, tu peux disposer de moi quand y pensera. Je vous pris d’être les bienvenus dans votre cauchemar. Je vis à l’intérieur des choses refoulées. Je suis ta conscience, pourquoi est tu anxieux ? tu ne pourras pas te débarrasser de moi si aisément.
Je suis ce que tu es, l’étoile polaire dans ton esprit
Je suis ton fardeau dans ton pays de rêve, un emmerdeur
Je suis à la base de tous tes tracas, de tes nuits sans sommeil
Je suis ce que tu es, l’étoile polaire dans ton esprit, Je suis ton mensonge de béton
Mensonge, mensonge de béton, ce n’est qu’un sale cap à passer
T’es tu déjà intéressé à mes œuvres à mes besoins ? reniant la voix qui est mienne
T’appelant, t’appelant, et je t’aurais !
Regarde je suis partout dans l’air, dans les yeux et partout où tu regardes
Je suis ouïe je suis ton mensonge de béton
N’essaye pas de résister de décliner de refuser mon pouvoir
Je suis ton mensonge de béton ! mensonge intérieur
Mensonge, mensonge de béton, ce n’est qu’un sale cap à passer

A Qui La Faute ?

Prenez peur car le cours des choses évolue très vite, qui blâmer ?
Flots d’paroles et d’hypocrisies les visages s’animent de noirs desseins
Il est temps d’arracher ces masques que les faux-semblants disparaissent
Le jour de gloire n’est pas arrivé, continuons d’y croire, allons enfants…
Assez de ces discours pseudos moralistes à nous faire bé-gère
Assez de ces simulacres, de ces fils de putes ! Putes ! Dénoncer !
A qui ? A qui la faute ? A qui ? A qui la faute ? A qui ? A qui la faute ? faute !
L’heure est venue de se réveiller de cette léthargie cérébrale
Profil bas, soumission aveugle, ces messieurs n’attendant plus que ça
L’attentisme est la pire des armes, encore un suicide collectif
Mais j’entends résonner au loin l’étendard de la rébellion, non !
Assez de ces discours pseudos moralistes à nous faire bé-gère
Assez de ces simulacres, de ces fils de putes ! Putes ! Dénoncer !
A qui ? A qui la faute ? A qui ? A qui la faute ? A qui ? A qui la faute ?
Coupables inavoués !
Assez de ces discours pseudo- moralistes à nous faire bé-gère
Assez de ces simulacres, de ces fils de putes

Sam

Sam voulait être une star, star brillant sous les feux
Mais humilié, rabaissé, dégoûté, affligé par le reflet de la réalité
Sam cache, cache sa face et crache, considérant que sa face laisse place,
laisse place au reflet d’Antonio Banderas, ce reflet qui le glace, d’ Antonio Banderas,
ce reflet qui le glace
tagalagaba toga begalayv Sam essaie des incantations
Peux-tu encore té-ma ta face dans la glace sans démolir le sens des réalités
c’est sans équivoque que le verdict est lâché ! c’est le complexe dit « oh » d’identité
Peux-tu encore té-ma ta face dans la glace sans démolir le sens des réalités
c’est sans équivoque que le verdict est lâché ! complexe d’identité, complexe !
démolir ta face dans le miroir, Sam voudrait démolir sa face dans le miroir
Sam veut sortir du noir, Sam évite les miroirs
Cache, cache sa face et crache, considérant que sa face laisse place,
laisse place au reflet d’Antonio Banderas, ce reflet qui le glace
tagalagaba toga begalayv Sam essaie des incantations tagalagaba toga begalayv
Peux tu encore té-ma ta face dans la glace sans démolir le sens des réalités
c’est sans équivoque que le verdict est lâché ! c’est le complexe dit « oh » d’identité
Peux tu encore té-ma ta face dans la glace sans démolir le sens des réalités
c’est sans équivoque que le verdict est lâché ! complexe d’identité, complexe !
démolir ta face dans le miroir, Sam voudrait démolir sa face dans le miroir
Miroir beau miroir oh dit moi ce que je fais là,
ce reflet qui se trouve là ce n’est pas vraiment moi, démoli sa face,
à 10 secondes du grand saut, quatre, trois, deux, un !
L’ultime regard face à son reflet s’éparpille le long des murs aux éclats ensanglantés
Sam !

Kayanamasha

Le pouvoir, le pouvoir mènera au déclin l’humanité, la fin est proche je la sens je la sens
Venir comme un voleur dans la nuit
Et ça peut changer ton esprit et ta personnalité
Le pouvoir efface tes anciennes valeurs
T’es tu déjà demandé pourquoi ils se battent pour atteindre le haut de la hiérarchie
J’appelle ça le pouvoir ils l’appellent le domaine réservé
Les places, les places sont recherchées, et il n’y a pas de place pour les moralisateurs

Indigestion

A la une de la presse des images qui nous choquent,
visions d’horreurs sous des titres qui font blocs
Des maux, des morts pour ne pas faire un flop
A tous les moyens sont bons pour faire de l’audimat,
code de déontologie rien à battre, technologie au service de blattes
véhiculer l’info, manipuler l’image c’est si facile,
un jeu d’enfant et « hop » la p’tite souris peut faire de vrais miracles,
abracadabra « clic » !
Croire ce que l’on voit c’est un pas pour les médias
Croire et ne plus voir c’est l’absolu pouvoir ! L’absolu pouvoir !
L’opinion c’est fragile elle peut vite basculer, une phrase, un verbe
mal interprété, l’art de détruire juste avec des mots
Plus de place pour penser il faut tout avaler,
sans même savoir si tout ça est bien vrai, faudrait tout croire et bien sur la fermer
Croire ce que l’on voit c’est un pas pour les médias
Croire et ne plus voir c’est l’absolu pouvoir ! Croire !
Médias, médias, médias, médias, médias
L’indigestion, à tous ces, tout ces médias qui nous font bé-gère
Regarde autour prend garde c’est déjà l’indigestion ! Indigeste vérité !
Croire ce que l’on voit, croire et ne plus voir, croire ce que l’on voit
Religion cathodique à l’aube du nouvel ère, à la recherche du sensationnalisme
à la demande des badauds, des commères
Tous ces morts, toutes ces guerres deviennent vite très banales,
Immunisation quasi générale, non ce n’est pas un film messieurs mesdames
Croire ce que l’on voit c’est un pas pour les médias
Croire et ne plus voir c’est l’absolu pouvoir ! Croire !
Médias, médias, l’indigestion pèse sur vos mots, l’indigestion pèse sur nos morts
A tous ces, tous ces médias qui nous font bé-gère
Regarde autour prend garde c’est déjà l’indigestion ! Indigeste vérité !

Mesaidaboom

Shuta shuta shuta shuta watchamancha ta - pou
Lâche donc l'affaire man dépose les armes évite le drame
Tu prends les gens qui t'entourent pour des ennemis
Des vrais vautours
Prends la fuite quitte ta tête
Evite le drame qui se trame
Met ton doigt sur la gâchette
Apprête ton cercueil pour la fête
Cogite mon frère stibidistyle ou stibidicrack
Vaut mieux prendre la bonne route plutôt que de finir dans un trou
Boom! Boom, Boom ? Mesaidaboom! Boom, Boom!
Comment rester aveugle à la vue de tous ces carnages
Car la loi du silence s'impose maintenant pour être à la page
Comment oublier ces souffrances offenses
Qui les dispensent mettre de la distance
Maintenant tu le sais manaman nous n'avons plus rien à te révéler
Car ce qui est fait est mal fait
Alors à toi de décider
Maintenant tu le sais manaman le temps qui passe
N'y peut rien changer et désormais
Lord of mercy..
I'm feeling irie
Pas de compromission avec les bâtards, les bourreaux
J'les fauchent de mon flow
la mort au bout des mots
Rien n'est jamais trop beau pour ces salauds d'fils de pute
Qui s'la coule douce au fil de l'eau
Le temps aidant, on les oublie, sucker
Puis ils réapparaissent à la surface qui s'en soucie
J'ai pas à vivre ma vie parmi les détritus, les pourris
J'ai choisi j'trace d'ici fini les ennuis
What is wrong man!
You around like a dog in cage!
D'ya really think that world will give you a chance!
So what is wrong in your inside your fuckin'brain!
So what is wrong inside your head!
Man! Dead! Man!

Machine à Sang

C’est l’appel communément appelé la justice de la jungle urbaine,
C’est œil pour œil et dent pour dent, pas de merci c’est la guerre
L’AK 40 garanti d’exploser des têtes. Tu brandis la machine à sang
aux pouvoir exaltants, pourtant, pourtant ça ne suffit pas
Tu rêves de devenir le caïd, le roi de la mafia, affirmer ta suprématie
dans le monde du business…l’as !
Chaque jour, chaque jour c’est un défi ! Toujours, toujours un peu plus loin
Clamant que le destin frappera là !
Le pouvoir est dans ta main, dégainer l’acier te fait bander, soit !
Et fait monter l’adré-nadrénaline si haut, bien mieux qu’une bitch
Si haut, le canon te fascine. Mais il faut approfondir demandant
qu’elle effet cela te fera de dessouder un type de sang froid !
quand c’est la toute première fois, tu vois, tu as un pied dans la machine
C’est clair, prends le gun, fait le boss, « bang ! bang ! »
Tout comme Al Pacino ! Prends le gun, fait le boss, « bang ! bang ! »
Tu t’affoles comme tétanisé par la peur des coups de feux qui résonnent
Tu ne fais plus le fier quand la mort est juste au bout du gun, « bang ! »
C’est différent du ciné de « Boys in the hood » la guerre des gangs
S’arrêtera quand tu chieras dans ton froc ! froc !
Oh toi mon guerrier téméraire il ne faut pas te laisser faire
T’as le pouvoir au bout du doigt, au bout duquel c’est l’au-delà, tu vois
Qui manie la machine, la machine à sang
Chaque jour, chaque jour c’est un défi ! Toujours, toujours un peu plus loin
Clamant que le destin frappera là !
Prends le gun, fait le boss, « bang ! bang ! »

li ii i iv ii i i iv i



Tout Pourrit En Soi

Et le temps qui passe, mène vers une impasse,
celle qui nous mènera ensemble là où l’on trépasse
tout est périssable, tout est oxydable
Qui sommes nous pour dire que l’homme est irremplaçable !
juste un minimum, juste un minimum, juste un minimum de lucidité
Tout pourrit en soi, hey mec ! Dis-moi pourquoi la vie, la mort,
l’amour la haine tout pourrit en soi, hey mec ! Et ce sentiment
amère nous amène à la même finalité ! Tout pourrit en soi mec !
n’ayant plus qu’à vivre, tout en oubliant l’écoulement du sablier
si vite diminuer. Regardez autour, que voit on au centre ?
l’humanité grandissante et nombrilisé
tout pourrit en soi ne peux-tu sentir l’odeur d’une vie bien futile
matérielle, égoïste, sans valeur spirituelle, fragile
tout pourrit en soi ne peux-tu sentir l’odeur d’une vie bien futile
matérielle, égoïste, sans valeur spirituelle, fragile
Tout pourrit en soi ! Je n’veux pas être une victime !
Demain le monde sera encore hostile, combien de temps avant que
tout soit tranquille ! combien d’épreuves et combien de victimes
souilleront le monde d’une haine indélébile !

Paranoïa

Ten thousand eyes and lies on my back, all those innuendoes I know them by heart
I’ve seen some queer things in my time, queer things that make me twitch
All this conspiracy grows with years, I used to make believe that I was blind
But now my cup, my cup is over filled
Watch out my war of nerves starts, let’s play this game
Let’s play this game, let’s try my game!
The rules are mine, watch-out
It’s on my mind all times, ten thousand eyes telling thousand lies,
It’s on my mind all times
I steer clear off the light, light of the day, fears, anguishes are now a part of me
Wondering if this will end when I die, game’s over is it the end ?
Ten thousand eyes and lies always behind my back
It’s on my mind all times, ten thousand eyes telling thousand lies
It’s on my mind all times
Suspicious floating now, in my mind, suspicious floating now, in my mind

Fun At All

Je reste là mes nerfs en stand-by, ce n’est pas marrant après tout, ce n’est pas marrant
Je pense que je n’ai pas tout saisi ou ai-je mal entendu
Ca doit être une erreur quand vous dites que je vais y passer
Qu’est ce que vous racontez ? Vos cartes ont faux ou peut être sont elles truquées !
Voulez-vous bien recommencer !
J’ai failli tout avaler, c’est irréel, je ris
Oh quelle putain de blague ! c’est un vrai soulagement !
Je vous demande pardon, attendez, je n’ai pas entendu ! vous dites quoi ? Je quoi ?
Je dois accepter la fatalité
Je reste cool mes nerfs en stand-by, ma patience est entrain de perdre contrôle
Ce n’est pas drôle après tout ! C’est pas drôle après tout ! C’est pas drôle après tout !
Je reste cool mes nerfs en stand-by, ma patience est en train de perdre contrôle
Je reste cool mes nerfs en stand-by, ma patience est en train de perdre contrôle
Tu saisis maintenant ce que j’attends ? C’est très bien
Je serrais un millionnaire, est ce que t’as pigé ?
Ce n’est pas drôle après tout ! Alors pourquoi je ris ?
Ce n’est pas drôle après tout ! Alors pourquoi je ris ?
Ce n’est pas drôle après tout !

Elle Dort

J’ai prié, imploré, la puissance de mille dieux, ni la science, ni les cieux n’apaiseront
mes souffrances, elle dort sans rêver et moi je reste là désorienté, las d’avoir lutté
Sommeil emmène-moi vers elle, vers elle, sommeil, peu importe le prix je la rejoindrais
même si pour cela je devais perdre mes ailes, mes ailes, mes ailes, mes ailes
Le syndrome de l’amour est si proche de la mort, qu’il m’effleure sans pudeur je l’attends
à toute heure, elle dort sans rêver et moi je reste là impuissant et las, las, las, las, las d’invoquer. Sommeil emmène-moi vers elle, vers elle, sommeil, peu importe le prix je la rejoindrais même si pour cela je devais perdre mes ailes, sommeil, peu importe le prix je la rejoindrais même si pour cela je devais perdre mes ailes, peu importe, peu importe !
Prenez mes ailes, prenez mes ailes ! Comme j’ai froid et ce silence glacial, glacial envahit mon âme, réveil moi de ce silence, je ressent des choses étranges, je ressent des choses étranges je ressent des choses étranges, glaciales, glaciales, elle dort, j’ai froid


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