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Paradise Lost | chronique
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01- Don't Belong
02- Close Your Eyes
03- Grey
04- Redshift
05- Forever After
06- Sun Fading
07- Laws Of Cause
08- All You Leave Behind
09- Accept The Pain
10- Shine
11- Spirit
12- Over The Madness
02- Close Your Eyes
03- Grey
04- Redshift
05- Forever After
06- Sun Fading
07- Laws Of Cause
08- All You Leave Behind
09- Accept The Pain
10- Shine
11- Spirit
12- Over The Madness
Lourd ? par PoC
Annoncé par le groupe comme l'album le plus "lourd" de sa discographie, ce premier opus éponyme laissait planer le doute quant à sa composition.
Paradise Lost amorcerait-il un quelconque "retour aux sources" (même si totalement improbable depuis One Second) ou bien s'aventurerait-il vers de nouveaux horizons musicaux encore non explorés par la bande de Holmes ? Dès la première écoute, on peut clairement affirmé qu'il ne s'agit d'aucune des deux options ! On a même clairement du mal à saisir le sens profond du mot "lourd", évoqué plus haut.
Avec Paradise Lost, nos cinq anglais nous offrent une musique extrêmement fournie. Les parties électro sont plus présentes que jamais, les guitares saturées se font discrètes - à base de riffs flottants - et surtout, la mélodie se veut omniprésente. Jamais la volonté du groupe de la "mélodie à tous prix" n'a été aussi flagrante. Paradise Lost en fait tellement que la formation fini par dénaturer ses créations. On ne frémit pas - comme autrefois - à l'écoute d'un refrain de Grey ou encore de Don't Belong, première piste du disque, annonçant clairement la couleur.
Pourtant l'ensemble reste "beau". Paradise Lost n'a pas perdu son sens de l'harmonie et des mélanges des styles. Les solos mélodies - marque de fabrique de la formation - sont toujours aussi efficaces (Accept The Pain, Laws Of Cause), tout comme la voix de Nick Holmes : efficace sans fébrilité aucune.
Mais l'amoncellement de choeurs, claviers, guitares, arrangements électroniques et mélodies en tous genres donne paradoxalement un effet final de pauvreté aux morceaux.
Paradise Lost partagera donc votre coeur entre un "c'est magnifique !" et un "c'est lourd...". Ah, tiens le revoilà notre "lourd". Peut-être était-ce donc ça le sens profond du terme...
+ r�agir
Annoncé par le groupe comme l'album le plus "lourd" de sa discographie, ce premier opus éponyme laissait planer le doute quant à sa composition.
Paradise Lost amorcerait-il un quelconque "retour aux sources" (même si totalement improbable depuis One Second) ou bien s'aventurerait-il vers de nouveaux horizons musicaux encore non explorés par la bande de Holmes ? Dès la première écoute, on peut clairement affirmé qu'il ne s'agit d'aucune des deux options ! On a même clairement du mal à saisir le sens profond du mot "lourd", évoqué plus haut.
Avec Paradise Lost, nos cinq anglais nous offrent une musique extrêmement fournie. Les parties électro sont plus présentes que jamais, les guitares saturées se font discrètes - à base de riffs flottants - et surtout, la mélodie se veut omniprésente. Jamais la volonté du groupe de la "mélodie à tous prix" n'a été aussi flagrante. Paradise Lost en fait tellement que la formation fini par dénaturer ses créations. On ne frémit pas - comme autrefois - à l'écoute d'un refrain de Grey ou encore de Don't Belong, première piste du disque, annonçant clairement la couleur.
Pourtant l'ensemble reste "beau". Paradise Lost n'a pas perdu son sens de l'harmonie et des mélanges des styles. Les solos mélodies - marque de fabrique de la formation - sont toujours aussi efficaces (Accept The Pain, Laws Of Cause), tout comme la voix de Nick Holmes : efficace sans fébrilité aucune.
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