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City | chronique
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02- All Hail The New Flesh
03- Oh My Fucking God
04- Detox
05- Home Nucleonics
06- AAA
07- Underneath The Waves
08- Room 429
09- Spirituality
10- Centipede
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10- Centipede
City pas content, rebelle-toi par Sirius
Si Strapping Young Lad déçoit de plus en plus, ce n'est pas nécessairement à cause de la mauvaise qualité de ses derniers albums, mais c'est avant tout parce qu'en 1997 a aterri dans les bacs City. Devenu une véritable référence du metal-indus, il s'agit également de l'album-référence et étalon du groupe. Et on comprend pourquoi. A l'époque, Devin est vraiment en colère, entre autres contre la scène metal qui s'enterre dans ses clichés ou qui succombe au music-business. City transpire la rage comme rarement et est d'une intensité et d'une violence impressionante. Notamment la première partie, qui, écoutée à plein volume, ne pourra que vous ruiner le cerveau. La musique est donc très violente (faut dire, avec Gene Hoglan (ex-Death entre autres) derrière les fûts, on est sûr de bouffer nos dents…), chaotique et complexe, car ce qui justifie l'appellation indus, ce sont les nombreux samples, les plages de synthé, les bidouillages électroniques en tout genre et les différents bruits. Si les riffs de guitare sont assez simples et directs (et au passage efficaces), les nombreuses strates d'instruments font que le disque nécessite plusieurs écoutes pour commencer à livrer ses secrets. Attention, pas d'équivoque, le but de City est quand même principalement de vous envoyer contre le mur. A ce titre, Devin complètement fantastique, à la voix inimitable, poussant des cris totalement monstrueux, jouissifs et même délirants (et souvent impressionnants de longueur), entre le death et le hardcore mais avec une touche véritablement personnelle. Et de l'autre côté, il s'avère également être un excellent chanteur à la voix belle et sincère, ce qui permet d'aérer quelque peu la musique, ce qui n'est pas un mal tellement elle est intense. Des morceaux comme "Oh my fucking God" (et son refrain imparable"), "Detox" ou "Home nucleonics" ne pourront que vous pousser à foncer dans le mur ou à headbanguer comme un taré. Les 3 derniers morceaux sont quant à eux moins brutaux, plus réfléchis, et mettent plus en avant les synthés par exemple. Et s'ils sont moins bons que les morceaux précédents et surtout qu'ils détonnent un peu, ils n'en restent pas moins excellents. Je ne peux donc que vous conseiller de vous ruer sur ce disque si vous voulez manger vos dents.
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Si Strapping Young Lad déçoit de plus en plus, ce n'est pas nécessairement à cause de la mauvaise qualité de ses derniers albums, mais c'est avant tout parce qu'en 1997 a aterri dans les bacs City. Devenu une véritable référence du metal-indus, il s'agit également de l'album-référence et étalon du groupe. Et on comprend pourquoi. A l'époque, Devin est vraiment en colère, entre autres contre la scène metal qui s'enterre dans ses clichés ou qui succombe au music-business. City transpire la rage comme rarement et est d'une intensité et d'une violence impressionante. Notamment la première partie, qui, écoutée à plein volume, ne pourra que vous ruiner le cerveau. La musique est donc très violente (faut dire, avec Gene Hoglan (ex-Death entre autres) derrière les fûts, on est sûr de bouffer nos dents…), chaotique et complexe, car ce qui justifie l'appellation indus, ce sont les nombreux samples, les plages de synthé, les bidouillages électroniques en tout genre et les différents bruits. Si les riffs de guitare sont assez simples et directs (et au passage efficaces), les nombreuses strates d'instruments font que le disque nécessite plusieurs écoutes pour commencer à livrer ses secrets. Attention, pas d'équivoque, le but de City est quand même principalement de vous envoyer contre le mur. A ce titre, Devin complètement fantastique, à la voix inimitable, poussant des cris totalement monstrueux, jouissifs et même délirants (et souvent impressionnants de longueur), entre le death et le hardcore mais avec une touche véritablement personnelle. Et de l'autre côté, il s'avère également être un excellent chanteur à la voix belle et sincère, ce qui permet d'aérer quelque peu la musique, ce qui n'est pas un mal tellement elle est intense. Des morceaux comme "Oh my fucking God" (et son refrain imparable"), "Detox" ou "Home nucleonics" ne pourront que vous pousser à foncer dans le mur ou à headbanguer comme un taré. Les 3 derniers morceaux sont quant à eux moins brutaux, plus réfléchis, et mettent plus en avant les synthés par exemple. Et s'ils sont moins bons que les morceaux précédents et surtout qu'ils détonnent un peu, ils n'en restent pas moins excellents. Je ne peux donc que vous conseiller de vous ruer sur ce disque si vous voulez manger vos dents.
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