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In The Constellation Of The Black Widow | chronique
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album : In The Constellation Of The Black Widow
groupe : Anaal Nathrakh
sortie : 2009
+ chronique Anaal Nathrakh
album : In The Constellation Of The Black Widow
groupe : Anaal Nathrakh
sortie : 2009
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01- In The Constellation Of The Black Widow
02- I Am The Wrath Of Gods And The Desolation Of The Earth
03- More Of Fire Than Blood
04- The Unbearable Filth Of The Soul
05- Terror In The Mind Of God
06- So Be It
07- The Lucifer Effect
08- Oil Upon The Sores Of Lepers
09- Satanarchrist
10- Blood Eagles Carved On The Backs Of Innocents
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09- Satanarchrist
10- Blood Eagles Carved On The Backs Of Innocents
Melting pot extrêmiste par Space Ritual
Impossible de faire l’impasse sur le duo de Birmingham pour tout amateur de musique extrême depuis le début du XXIe siècle. De leurs débuts encrés dans le Black cradingue, on garde un souvenir ému tant la véhémence dégagée était spontanée et débarrassée de toutes caricatures (le maquillage et les poses nordiques à la Immortal). Mixant avec allégresse Grind et samples, la recherche de la violence était constante, sans détour. Puis une lente mue s’est effectuée ; toujours la rage au cœur du débat mais emprunt du souci d’ouverture. Résultats probants sur Eschaton et Hell is empty and all the Devils are here.
La dernière livraison s’inscrit dans cette lignée. Une demi heure tendue qui voit forniquer le Black Metal de Mayhem avec ses cousins d’Arcturus, Emperor, Ulver ou Impaled Nazarene, le tout sous amphétamines. VITRIOL, plus possédé que jamais, alterne hurlements déments, voix claires (Ihsahn ©) et grognements d’outre-tombe. Impressionnant. Mais ce qui étonne, c’est la cohérence et la personnalité propre à chaque morceaux et ce grâce aux influences Heavy Metal qui n’ont jamais été aussi prononcées ! Car sous la couche de Blast Beats se terrent des structures propres aux pourfendeurs de dragons. Refrains accrocheurs, riffs épiques, soli allant jusqu’à rappeler Iron Maiden (Terror in the mind of Gods ), il est évident qu’Irrumator s’amuse à étaler ses influences. Là se terre le fil conducteur et la mutation du groupe.
Album ayant des allures de Melting Pot, In the Constellation of Black Widow réussi tout de même à perpétuer la marque Anaal Nathrakh. Les amateurs des derniers opus ne seront pas déstabilisés et accueilleront cette nouvelle offrande avec satisfaction. Les autres feront leur deuil de l’ambiance malsaine qui animait l’orchestre à ses débuts.
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Impossible de faire l’impasse sur le duo de Birmingham pour tout amateur de musique extrême depuis le début du XXIe siècle. De leurs débuts encrés dans le Black cradingue, on garde un souvenir ému tant la véhémence dégagée était spontanée et débarrassée de toutes caricatures (le maquillage et les poses nordiques à la Immortal). Mixant avec allégresse Grind et samples, la recherche de la violence était constante, sans détour. Puis une lente mue s’est effectuée ; toujours la rage au cœur du débat mais emprunt du souci d’ouverture. Résultats probants sur Eschaton et Hell is empty and all the Devils are here.
La dernière livraison s’inscrit dans cette lignée. Une demi heure tendue qui voit forniquer le Black Metal de Mayhem avec ses cousins d’Arcturus, Emperor, Ulver ou Impaled Nazarene, le tout sous amphétamines. VITRIOL, plus possédé que jamais, alterne hurlements déments, voix claires (Ihsahn ©) et grognements d’outre-tombe. Impressionnant. Mais ce qui étonne, c’est la cohérence et la personnalité propre à chaque morceaux et ce grâce aux influences Heavy Metal qui n’ont jamais été aussi prononcées ! Car sous la couche de Blast Beats se terrent des structures propres aux pourfendeurs de dragons. Refrains accrocheurs, riffs épiques, soli allant jusqu’à rappeler Iron Maiden (Terror in the mind of Gods ), il est évident qu’Irrumator s’amuse à étaler ses influences. Là se terre le fil conducteur et la mutation du groupe.
Album ayant des allures de Melting Pot, In the Constellation of Black Widow réussi tout de même à perpétuer la marque Anaal Nathrakh. Les amateurs des derniers opus ne seront pas déstabilisés et accueilleront cette nouvelle offrande avec satisfaction. Les autres feront leur deuil de l’ambiance malsaine qui animait l’orchestre à ses débuts.
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