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The Devil You Know | chronique
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01- Atom And Evil
02- Fear
03- Bible Black
04- Double The Pain
05- Rock And Roll Angel
06- The Turn Of The Screw
07- Eating The Cannibals
08- Follow The Tears
09- Neverwhere
10- Breaking Into Heaven
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08- Follow The Tears
09- Neverwhere
10- Breaking Into Heaven
Mou, redondant et inutile par Sirius
Avant de m’atteler à cette chronique, j’ai jeté un coup d’œil à celles d’autres webzines, comme ça. J’ai lu en vrac que cet album était destiné à devenir un classique du groupe, au même titre que les 6 premiers, ou bien qu’il faisait honneur au nom Black Sabbath. Sidéré, je me suis mis à élaborer différentes hypothèses plus ou moins plausibles: les chroniqueurs avaient bu ou bien avaient été payés par Roadrunner, ils ont par mégarde mis un vieux Sab’ dans leur chaîne, Chuck Norris les a menacés (mais dans ce cas pourquoi ne serait-il pas venu me voir ?)...
Parce que là, franchement, lapin compris. J’avais voulu commencé ce torchon avec une devinette : « Qu’est-ce qui est pire qu’un mauvais disque ? Réponse : un mauvais disque lent ». J’ai vraiment dû lutter pour supporter cet album. Pas qu’il soit spécialement à chier, mais il est inutile, et c’est peut-être ce qui peut arriver de pire. ON S’EMMERDE BORDEL ! Ca décolle jamais (à part sur un morceau mais c’est pas génial pour autant), ça groove même pas, et le top du top, c’est monotone. Je n’ai jamais été particulièrement fan de Dio, mais on peut au moins lui reconnaître qu’il est doué pour les berceuses avec sa voix qui ne bouge pas d’un iota tout du long. Rarement agressif, mais constamment chiant, il nous confirme qu’Ozzy était nettement meilleur et gâche à mon sens une bonne partie de The Devil You Know.
Ceci dit, il n’y a pas grand-chose à cacher, si ce n’est du vide. Les 10 compos ont un arrière-goût tenace de déjà entendu mille fois, que ce soit par Black Sabbath ou par ses « suiveurs ». Iommi ressasse les mêmes plans pachydermiques se voulant malsains qu’il y a 30 ans, le talent en moins, et ses solos ne sont que corrects. La batterie, outre un son moderne qui risque de vieillir assez rapidement, pourrait facilement être remplacée par une boîte à rythmes, et quant à la basse, et bien, elle est là, on l’entend un peu, mais globalement on s’en fout pas mal.
Et pourtant, ça ne m’amuse pas de dire ça, j’étais content de le recevoir celui-ci, j’adore les vieux classiques du groupe, mais là c’est non : un morceau, ça passe, mais quand tous les autres sont identiques et sans aucune originalité, je dis stop.
Retour raté.
+ r�agir [ 15 commentaires ]
Avant de m’atteler à cette chronique, j’ai jeté un coup d’œil à celles d’autres webzines, comme ça. J’ai lu en vrac que cet album était destiné à devenir un classique du groupe, au même titre que les 6 premiers, ou bien qu’il faisait honneur au nom Black Sabbath. Sidéré, je me suis mis à élaborer différentes hypothèses plus ou moins plausibles: les chroniqueurs avaient bu ou bien avaient été payés par Roadrunner, ils ont par mégarde mis un vieux Sab’ dans leur chaîne, Chuck Norris les a menacés (mais dans ce cas pourquoi ne serait-il pas venu me voir ?)...
Parce que là, franchement, lapin compris. J’avais voulu commencé ce torchon avec une devinette : « Qu’est-ce qui est pire qu’un mauvais disque ? Réponse : un mauvais disque lent ». J’ai vraiment dû lutter pour supporter cet album. Pas qu’il soit spécialement à chier, mais il est inutile, et c’est peut-être ce qui peut arriver de pire. ON S’EMMERDE BORDEL ! Ca décolle jamais (à part sur un morceau mais c’est pas génial pour autant), ça groove même pas, et le top du top, c’est monotone. Je n’ai jamais été particulièrement fan de Dio, mais on peut au moins lui reconnaître qu’il est doué pour les berceuses avec sa voix qui ne bouge pas d’un iota tout du long. Rarement agressif, mais constamment chiant, il nous confirme qu’Ozzy était nettement meilleur et gâche à mon sens une bonne partie de The Devil You Know.
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