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Rising | chronique
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01- Tarot Woman
02- Run With The Wolf
03- Starstruck
04- Do You Close Your Eyes
05- Stargazer
06- A Light In The Black
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Kings of England par Doc
En 1976, moins d'un an après sa fondation, le groupe en est déjà à son troisième disque ! Ca c'est de la productivité britannique. Après Ritchie Blackmore's Rainbow et On Stage, le live, Rainbow enregistre donc Rising.
Depuis le premier disque, le line-up a un peu bougé. On retrouve toujours les deux leaders Blackmore à la guitare et Dio au micro, avec Tony Carey aux claviers, Jimmy Bain à la basse et Cozy Powell à la batterie. Encore inconnu à ce moment, Cozy Powell va se révéler dans Rainbow et va devenir un batteur célèbre, il va notamment accompagner Jeff Beck, ELP, Black Sabbath, Whitesnake, Gary Moore et Peter Green.
Avec ce disque, Rainbow évolue beaucoup musicalement. Si on retrouve encore ces rocks simples et efficaces, Rising est marqué par les titres longs et complexes. Le sommet de l'album est sans conteste Stargazer, apogée de la créativité des membres de Rainbow. Le morceau de huit minutes oscille entre chant génial et solos de guitare brillants. Un rythme étrange, des riffs limite dissonants à la Led Zeppelin, une dose de de musique orientale grandiose, une intro puissante à la batterie et le tour de force est joué. Un grand classique du genre.
Autre morceau très connu : Kill The King, composé pendant la tournée de 1975, il apparait sur le live On Stage, la version sur Rising est donc le studio après le live. Un Hard-rock très puissant.
Je vous épargne la description piste par piste. La production est bien meilleure que dans le premier disque. Le son est fort et aggressif. Dans sa globalité, l'album est plus violent, moins rock et plus metal progressif. Tous les musiciens expriment leur talent, le clavier de Carey comme la batterie de Powell démontre un génie musical impressionant. En bref un chef d'oeuvre de l'époque, surprenant, bouleversant, puissant.
Aujourd'hui l'influence de Ritchie Blackmore et de ses différents groupes, tels que Rainbow, est largement sous-estimée. Mais dans les années 1970, il fut une large source d'inspiration pour nombre de groupes célèbres, de Black Sabbath (qui accueillera d'ailleurs Ronnie James Dio) à Diamond Head.
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En 1976, moins d'un an après sa fondation, le groupe en est déjà à son troisième disque ! Ca c'est de la productivité britannique. Après Ritchie Blackmore's Rainbow et On Stage, le live, Rainbow enregistre donc Rising.
Depuis le premier disque, le line-up a un peu bougé. On retrouve toujours les deux leaders Blackmore à la guitare et Dio au micro, avec Tony Carey aux claviers, Jimmy Bain à la basse et Cozy Powell à la batterie. Encore inconnu à ce moment, Cozy Powell va se révéler dans Rainbow et va devenir un batteur célèbre, il va notamment accompagner Jeff Beck, ELP, Black Sabbath, Whitesnake, Gary Moore et Peter Green.
Avec ce disque, Rainbow évolue beaucoup musicalement. Si on retrouve encore ces rocks simples et efficaces, Rising est marqué par les titres longs et complexes. Le sommet de l'album est sans conteste Stargazer, apogée de la créativité des membres de Rainbow. Le morceau de huit minutes oscille entre chant génial et solos de guitare brillants. Un rythme étrange, des riffs limite dissonants à la Led Zeppelin, une dose de de musique orientale grandiose, une intro puissante à la batterie et le tour de force est joué. Un grand classique du genre.
Autre morceau très connu : Kill The King, composé pendant la tournée de 1975, il apparait sur le live On Stage, la version sur Rising est donc le studio après le live. Un Hard-rock très puissant.
Je vous épargne la description piste par piste. La production est bien meilleure que dans le premier disque. Le son est fort et aggressif. Dans sa globalité, l'album est plus violent, moins rock et plus metal progressif. Tous les musiciens expriment leur talent, le clavier de Carey comme la batterie de Powell démontre un génie musical impressionant. En bref un chef d'oeuvre de l'époque, surprenant, bouleversant, puissant.
Aujourd'hui l'influence de Ritchie Blackmore et de ses différents groupes, tels que Rainbow, est largement sous-estimée. Mais dans les années 1970, il fut une large source d'inspiration pour nombre de groupes célèbres, de Black Sabbath (qui accueillera d'ailleurs Ronnie James Dio) à Diamond Head.
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