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Hegemony | chronique
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01- Hegemony
02- March Of The Neovocyts
03- The Baleful Light
04- Death Dance
05- Recall
06- The Searing Desert
07- The Far Horizons
08- On The Burning Sand
09- Salinity
10- Sublime Sense
11- The Arrival
12- Dissolution
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08- On The Burning Sand
09- Salinity
10- Sublime Sense
11- The Arrival
12- Dissolution
En marge mais incontournable par PoC
Une chose est sûre, les années passent et S.U.P confirme avec toujours autant de talent et conviction son statut de pilier de la scène Metal française. C'est ainsi que ce groupe en marge, clairement hors norme, nous dévoile son sixième album : Hegemony.
Inutile de tourner autour du pot : cet opus est convainquant, très convainquant même. Hegemony est une sorte de condensé de ce que S.U.P sait faire de mieux : des guitares lancinantes sur des riffs hachés et oppressants, une rythmique au petits oignons qui dégringole pour exploser un peu plus loin, un exquis mélange de growls et de voix claires envoutantes pour une ambiance omniprésente, dérangeante qui nous enveloppe tout du long. Au delà de ce qu'on pourrait considérer donc comme "acquis", Hegemony vient nous surprendre et révèle toute la maturité du groupe dans sa manière de composer.
Chaque morceau est finement travaillé, le groupe explorant de nouveaux schémas (The Far Horizons), de nouvelles rythmiques (The Baleful Light, On The Burning Sand). La fin du disque illustre parfaitement cette volonté d'interpeler l'auditeur lorsqu'après nous avoir apaisé avec l'interlude The Arrival - piste relaxante sous fond sonore marin - S.U.P enchaîne et conclut sans transition avec Dissolution, véritable bouquet final à l'introduction sur-puissante taillée pour le live.
Le concept d'Hegemony va dans ce sens et surprend aussi par son esthétisme sonore. Dans une ambiance futuriste poussée par des voix métalliques et autres samples "robotiques" (The Searing Desert), l'univers de l'opus prend forme et ajoute une couche de lecture supplémentaire. "We hold the reins to a new world" déclame Ludovic dont la performance vocale sonne d'ailleurs toujours aussi juste.
La bande des frères Loez a donc encore frappé et S.U.P signe ici un de ses disques les plus abouti.
Incontournable à mes yeux. Satisfait ou je vous rembourse !
+ r�agir
Une chose est sûre, les années passent et S.U.P confirme avec toujours autant de talent et conviction son statut de pilier de la scène Metal française. C'est ainsi que ce groupe en marge, clairement hors norme, nous dévoile son sixième album : Hegemony.
Inutile de tourner autour du pot : cet opus est convainquant, très convainquant même. Hegemony est une sorte de condensé de ce que S.U.P sait faire de mieux : des guitares lancinantes sur des riffs hachés et oppressants, une rythmique au petits oignons qui dégringole pour exploser un peu plus loin, un exquis mélange de growls et de voix claires envoutantes pour une ambiance omniprésente, dérangeante qui nous enveloppe tout du long. Au delà de ce qu'on pourrait considérer donc comme "acquis", Hegemony vient nous surprendre et révèle toute la maturité du groupe dans sa manière de composer.
Chaque morceau est finement travaillé, le groupe explorant de nouveaux schémas (The Far Horizons), de nouvelles rythmiques (The Baleful Light, On The Burning Sand). La fin du disque illustre parfaitement cette volonté d'interpeler l'auditeur lorsqu'après nous avoir apaisé avec l'interlude The Arrival - piste relaxante sous fond sonore marin - S.U.P enchaîne et conclut sans transition avec Dissolution, véritable bouquet final à l'introduction sur-puissante taillée pour le live.
Le concept d'Hegemony va dans ce sens et surprend aussi par son esthétisme sonore. Dans une ambiance futuriste poussée par des voix métalliques et autres samples "robotiques" (The Searing Desert), l'univers de l'opus prend forme et ajoute une couche de lecture supplémentaire. "We hold the reins to a new world" déclame Ludovic dont la performance vocale sonne d'ailleurs toujours aussi juste.
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