zonemetal > chroniques > Black Sabbath > Master of Reality
Master of Reality | chronique
acheter cet album
01- Sweet Leaf
02- After Forever
03- Embryo
04- Children Of The Grave
05- Orchid
06- Lord Of this World
07- Solitude
08- Into The Void
02- After Forever
03- Embryo
04- Children Of The Grave
05- Orchid
06- Lord Of this World
07- Solitude
08- Into The Void
LE white album par Sirius
J’aurais bien aimé chroniquer Black Sabbath dans l’ordre, mais pour l’instant, Master of reality est le seul album des anglais en ma possession. C’est pas grave, c’est quand même un putain de bon disque.
N’empêche, on se sent tout petit quand on écrit sur un groupe de ce genre. C’est vrai quoi, on est en 1971, ils en sont à trois albums en 2 ans (!), et comme ça, sans en avoir rien à foutre, ils inventent le Metal et en posent les bases pour les années à venir. Putain, le solo de Sweet Leaf, c’est du proto Kill’em all ! En fait, pendant tout l’album, on se dit « tiens, on dirait machin ». After forever annonce la Vierge de fer, Children of the grave et son passage pesant, morbide et apocalyptique annonce Celtic Frost et tout le courant doom, Lord of this world je crois rappelle Queens Of The Stone Age, etc. Il y a tout dans ce disque : la vitesse et la lenteur extrême, l’accordage grave au possible (enfin, un ton et demi plus bas), l’inclusion de la folk (les très beaux Embryo et Orchid), les paroles noires et sombres mais toujours ancrées dans la réalité et franchement intéressantes (d’ailleurs, il est marrant de noter qu’After forever défend la religion), la tristesse et la beauté (Solitude, simple mais magnifique)… Mais surtout, et c’est essentiel, les compos sont excellentes en plus d’être variées, et si le jeu de batterie peut parfois paraître poussif, pas moyen de s’ennuyer sur cet album.
Master of Reality, tout comme ses copains, c’est le White Album du metal, la boîte de Pandore qui renferme tout ce qui fera de ce style ce qu’il est.
+ r�agir
J’aurais bien aimé chroniquer Black Sabbath dans l’ordre, mais pour l’instant, Master of reality est le seul album des anglais en ma possession. C’est pas grave, c’est quand même un putain de bon disque.
N’empêche, on se sent tout petit quand on écrit sur un groupe de ce genre. C’est vrai quoi, on est en 1971, ils en sont à trois albums en 2 ans (!), et comme ça, sans en avoir rien à foutre, ils inventent le Metal et en posent les bases pour les années à venir. Putain, le solo de Sweet Leaf, c’est du proto Kill’em all ! En fait, pendant tout l’album, on se dit « tiens, on dirait machin ». After forever annonce la Vierge de fer, Children of the grave et son passage pesant, morbide et apocalyptique annonce Celtic Frost et tout le courant doom, Lord of this world je crois rappelle Queens Of The Stone Age, etc. Il y a tout dans ce disque : la vitesse et la lenteur extrême, l’accordage grave au possible (enfin, un ton et demi plus bas), l’inclusion de la folk (les très beaux Embryo et Orchid), les paroles noires et sombres mais toujours ancrées dans la réalité et franchement intéressantes (d’ailleurs, il est marrant de noter qu’After forever défend la religion), la tristesse et la beauté (Solitude, simple mais magnifique)… Mais surtout, et c’est essentiel, les compos sont excellentes en plus d’être variées, et si le jeu de batterie peut parfois paraître poussif, pas moyen de s’ennuyer sur cet album.
Master of Reality, tout comme ses copains, c’est le White Album du metal, la boîte de Pandore qui renferme tout ce qui fera de ce style ce qu’il est.
+ r�agir
NOUVEAUTÉS
RECHERCHE
Moonspell
[ paroles ]
1755
Korn [ paroles ]
The Serenity Of Suffering
Metallica [ paroles ]
Hardwired...To Self-Destruct
Gojira [ paroles ]
Magma
Motorhead [ paroles ]
Bad Magic
Behemoth [ paroles ]
The Satanist
Paradise Lost [ paroles ]
The Plague Within
1755
Korn [ paroles ]
The Serenity Of Suffering
Metallica [ paroles ]
Hardwired...To Self-Destruct
Gojira [ paroles ]
Magma
Motorhead [ paroles ]
Bad Magic
Behemoth [ paroles ]
The Satanist
Paradise Lost [ paroles ]
The Plague Within
________________
RECHERCHE