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Bleed The Fifth | chronique
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01- Bleed The Fifth
02- Failed Creation
03- This Threat Is Real
04- Impossible Is Nothing
05- Savior Self
06- Rise Of The Scorned
07- False Gospel
08- Soul Decoded (Now And Forever)
09- Royal Blood Heresy
10- Closure
02- Failed Creation
03- This Threat Is Real
04- Impossible Is Nothing
05- Savior Self
06- Rise Of The Scorned
07- False Gospel
08- Soul Decoded (Now And Forever)
09- Royal Blood Heresy
10- Closure
Metal carré tout propre par c4n4r
« C’est l’album que Fear Factory ne peut plus sortir. »
Voila ce que dit Dino Cazares au sujet de son nouveau bébé.
Il faut dire que le tableau est plus qu’alléchant, un ex-Fear Factory, un ex-Nile et un ex-Vital Reamain... Une somme de prodige pour ce nouveau projet aux allures de all star band.
Mais qu’en est-il vraiment de ce Divine Heresy ?
L’album commence sur le très énergique Bleed The Fifth, et on retrouve tout de suite le style Cazares : une rythmique ultra précise et speedée. La batterie également fait des merveilles, le jeu est ultra rapide, énorme maîtrise de la double pédale, Tim Yeung est visiblement très en forme. Etant donné que Joe Payne n’avait pas encore rejoint le groupe au moment de l’enregistrement, notre ami Dino s’est chargé des parties de basse, et autant dire qu’il n’était pas des plus inspiré. Il se contente de suivre la guitare, dommage.
La voix de Tommy Vext - dite prodigieuse - l’est bel et bien. On apprécie autant sa maîtrise du chant roque que son chant clair d’une pureté impressionnante.
L’ensemble est d’une technique irréprochable, il faut bien le dire. Mais un problème de taille survient rapidement, tous les morceaux ressemblent énormément a du Fear Factory en plus violent… Rien de bien innovant et c’est bien regrettable. Les morceaux se suivent, sont tous agréables à écouter mais il manque le petit plus qui ferait décoller l’album.
Les compositions sont de qualité mais bien trop formatées pour vraiment saisir l’auditeur aux tripes, trop tournées vers le tandem guitare / batterie. Bleed The Fifth donne plus l’impression d’une démo technique que d’un véritable effort de groupe. C’est joli, très joli même, mais bien trop propre.
Déception donc que ce premier album de Divine Heresy.
Il est d’autant pus dommage que la qualité ne soit pas au rendez-vous aux vues des performances techniques de ces musiciens.
Il est toute fois important de noter que cette formation a un énorme potentiel. On peut donc espérer de futures productions de bien meilleure qualité, ils en sont capables.
Un album à conseillé aux fans de Dino Cazares et aux amateurs de métal ultra carré tout propre.
+ r�agir [ 4 commentaires ]
« C’est l’album que Fear Factory ne peut plus sortir. »
Voila ce que dit Dino Cazares au sujet de son nouveau bébé.
Il faut dire que le tableau est plus qu’alléchant, un ex-Fear Factory, un ex-Nile et un ex-Vital Reamain... Une somme de prodige pour ce nouveau projet aux allures de all star band.
Mais qu’en est-il vraiment de ce Divine Heresy ?
L’album commence sur le très énergique Bleed The Fifth, et on retrouve tout de suite le style Cazares : une rythmique ultra précise et speedée. La batterie également fait des merveilles, le jeu est ultra rapide, énorme maîtrise de la double pédale, Tim Yeung est visiblement très en forme. Etant donné que Joe Payne n’avait pas encore rejoint le groupe au moment de l’enregistrement, notre ami Dino s’est chargé des parties de basse, et autant dire qu’il n’était pas des plus inspiré. Il se contente de suivre la guitare, dommage.
La voix de Tommy Vext - dite prodigieuse - l’est bel et bien. On apprécie autant sa maîtrise du chant roque que son chant clair d’une pureté impressionnante.
L’ensemble est d’une technique irréprochable, il faut bien le dire. Mais un problème de taille survient rapidement, tous les morceaux ressemblent énormément a du Fear Factory en plus violent… Rien de bien innovant et c’est bien regrettable. Les morceaux se suivent, sont tous agréables à écouter mais il manque le petit plus qui ferait décoller l’album.
Les compositions sont de qualité mais bien trop formatées pour vraiment saisir l’auditeur aux tripes, trop tournées vers le tandem guitare / batterie. Bleed The Fifth donne plus l’impression d’une démo technique que d’un véritable effort de groupe. C’est joli, très joli même, mais bien trop propre.
Déception donc que ce premier album de Divine Heresy.
Il est d’autant pus dommage que la qualité ne soit pas au rendez-vous aux vues des performances techniques de ces musiciens.
Il est toute fois important de noter que cette formation a un énorme potentiel. On peut donc espérer de futures productions de bien meilleure qualité, ils en sont capables.
Un album à conseillé aux fans de Dino Cazares et aux amateurs de métal ultra carré tout propre.
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