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Sworn To A Great Divide | chronique
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01- Sworn To A Great Divide
02- Exile
03- Breeding Thorns
04- Your Beloved Scapegoat
05- The Pittsburgh Syndrome
06- I, Vermin
07- Light Discovering Darkness
08- As The Sleeper Awakes
09- Silent Bullet
10- Sick Heart River
11- 20 More Miles
02- Exile
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05- The Pittsburgh Syndrome
06- I, Vermin
07- Light Discovering Darkness
08- As The Sleeper Awakes
09- Silent Bullet
10- Sick Heart River
11- 20 More Miles
Pas de vague par PoC
Deux ans après la sortie de Stabbing The Drama, Soilwork revient avec Sworn To A Great Divide.
A peine quelques pistes enchaînées qu'on reconnaît immédiatement la griffe du groupe suédois : une qualité de son irréprochable, une prod omniprésente modelant l'intensité de chaque morceau, une saturation propre toujours bien dosée, un chant dualiste classique à la fois énervé et mélodique, bref : tout est là, rien a changé.
Alors quel intérêt me direz-vous ?
Et bien je dois avouer qu'il m'a fallu plusieurs écoutes attentionnées pour discerner un brin de nouveauté musicale sur cet opus.
A la première boucle des 11 pistes on a la sale impression d'avoir écouté un remake de Figure Number Five ou Stabbing The Drama. Pour exemple, Your Beloved Scapegoat aurait très bien pu se trouver sur l'un de ces deux albums...
Il faut donc persister pour apprécier les subtilités de Sworn To A Great Divide.
En comparaison avec son prédécesseur, il est vrai que l'album est moins brutal. Les mélodies sont plus travaillées, Bjorn maîtrise parfaitement sa voix et pousse parfois dans les aigus sans trembler. Sa performance est impeccable.
L'architecture des morceaux composée de couplets agressifs pour des refrains mélodiques planants reste la même que sur la discographie récente du groupe, mais sur ce terrain il faut avouer que Soilwork est plutôt bon.
Quelques ponts et pré-refrains biens sentis viennent tout de même briser cette monotonie mais c'est surtout le travail sur l'atmosphère de certaines pistes qui relève l'album. Merci donc à Sven Karlsson et à son clavier qui donne une vraie profondeur au son d'un Sworn To A Great Divide plutôt plat. Malheureusement trop discret, il faut vraiment être attentif pour en discerner la saveur (20 More Miles, Sick Heart Riven).
Les guitares sont assez techniques et efficaces (Exile) tout du long même si on peut regretter le manque d'implication dans les différents solos proposés par Frenning.
En résumé, Sworn To A Great Divide est un album sans prétention. Il vient se caler dans la lignée de Stabbing The Drama, sans faire de vague. Les fans apprécieront la cohérence musicale et la récidive de qualité, les autres reprocheront à Soilwork de ne pas s'être mouillé. Je suis de ces derniers.
+ r�agir [ 5 commentaires ]
Deux ans après la sortie de Stabbing The Drama, Soilwork revient avec Sworn To A Great Divide.
A peine quelques pistes enchaînées qu'on reconnaît immédiatement la griffe du groupe suédois : une qualité de son irréprochable, une prod omniprésente modelant l'intensité de chaque morceau, une saturation propre toujours bien dosée, un chant dualiste classique à la fois énervé et mélodique, bref : tout est là, rien a changé.
Alors quel intérêt me direz-vous ?
Et bien je dois avouer qu'il m'a fallu plusieurs écoutes attentionnées pour discerner un brin de nouveauté musicale sur cet opus.
A la première boucle des 11 pistes on a la sale impression d'avoir écouté un remake de Figure Number Five ou Stabbing The Drama. Pour exemple, Your Beloved Scapegoat aurait très bien pu se trouver sur l'un de ces deux albums...
Il faut donc persister pour apprécier les subtilités de Sworn To A Great Divide.
En comparaison avec son prédécesseur, il est vrai que l'album est moins brutal. Les mélodies sont plus travaillées, Bjorn maîtrise parfaitement sa voix et pousse parfois dans les aigus sans trembler. Sa performance est impeccable.
L'architecture des morceaux composée de couplets agressifs pour des refrains mélodiques planants reste la même que sur la discographie récente du groupe, mais sur ce terrain il faut avouer que Soilwork est plutôt bon.
Quelques ponts et pré-refrains biens sentis viennent tout de même briser cette monotonie mais c'est surtout le travail sur l'atmosphère de certaines pistes qui relève l'album. Merci donc à Sven Karlsson et à son clavier qui donne une vraie profondeur au son d'un Sworn To A Great Divide plutôt plat. Malheureusement trop discret, il faut vraiment être attentif pour en discerner la saveur (20 More Miles, Sick Heart Riven).
Les guitares sont assez techniques et efficaces (Exile) tout du long même si on peut regretter le manque d'implication dans les différents solos proposés par Frenning.
En résumé, Sworn To A Great Divide est un album sans prétention. Il vient se caler dans la lignée de Stabbing The Drama, sans faire de vague. Les fans apprécieront la cohérence musicale et la récidive de qualité, les autres reprocheront à Soilwork de ne pas s'être mouillé. Je suis de ces derniers.
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