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The Water Fields | chronique
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01- Start the Fire
02- Don't wake me up
03- Dive
04- What's done is done
05- The Water Fields
06- Is your Soul for Sale ?
07- A Distant Light was Shining
08- Regarding Kate
09- Rise to the Occasion
10- Hey
11- This is now Farewell
02- Don't wake me up
03- Dive
04- What's done is done
05- The Water Fields
06- Is your Soul for Sale ?
07- A Distant Light was Shining
08- Regarding Kate
09- Rise to the Occasion
10- Hey
11- This is now Farewell
Sans évolution mais toujours aussi bon par The Tailgunner
Deux ans ont passés depuis The Perpetual Motion, et c’est avec plaisir que je prête une cage à miel sur cette nouvelle galette de The Old Dead Tree, j’ai nommé The Water Fields.
Mon œil est d’entré émerveillé par la pochette : l’artwork relève du grand art, le travail est comme toujours magnifique !
La première piste au nom évocateur, Start the Fire, débute sur un son de guitare bien différent du dernier album : le remplaçant de Nicolas Chevrollier - Gilles Moinet - apporte sa touche au groupe. La voix de Manuel Munoz est toujours aussi magnifique, alternant chant hurlé / chant clair toujours avec le même brio.
Fort de ce premier morceau, je continue l’écoute sur Don’t Wake Me Up, morceau plus court, mais toujours avec cette transition musicale entre les pistes présente sur tous les opus de The Old Dead Tree, présentant l’album comme une histoire, un livre, format dans lequel est présenté l’album d'ailleurs.
What’s Done Is Done sonne quand à lui bien différent sur le départ, avec quelques samples électros, mais le morceau revient bien vite sur le bon vieux son chargé d’émotion du groupe. Une question se pose : pourquoi pas un morceau électro ?
Les pistes défilent sans grande surprise, mais toujours de manière aussi agréable.
L’album se termine sur le This Is Now Farewell, comme il bouclait déjà l’album précédent, mais cette fois-ci en instrumental.
Pour résumer, « l’album de la maturité » est une excellente fresque musicale, dans la continuité de The Perpetual Motion, sans changement notable dans le style (d’ailleurs je ne leur demande pas !) et reste aussi bon que les deux autres opus.
Si vous avez aimé les galettes précédentes, jetez-vous dessus, vous ne serez pas déçu du voyage dans les « champs d’eau » !
+ r�agir [ 3 commentaires ]
Deux ans ont passés depuis The Perpetual Motion, et c’est avec plaisir que je prête une cage à miel sur cette nouvelle galette de The Old Dead Tree, j’ai nommé The Water Fields.
Mon œil est d’entré émerveillé par la pochette : l’artwork relève du grand art, le travail est comme toujours magnifique !
La première piste au nom évocateur, Start the Fire, débute sur un son de guitare bien différent du dernier album : le remplaçant de Nicolas Chevrollier - Gilles Moinet - apporte sa touche au groupe. La voix de Manuel Munoz est toujours aussi magnifique, alternant chant hurlé / chant clair toujours avec le même brio.
Fort de ce premier morceau, je continue l’écoute sur Don’t Wake Me Up, morceau plus court, mais toujours avec cette transition musicale entre les pistes présente sur tous les opus de The Old Dead Tree, présentant l’album comme une histoire, un livre, format dans lequel est présenté l’album d'ailleurs.
What’s Done Is Done sonne quand à lui bien différent sur le départ, avec quelques samples électros, mais le morceau revient bien vite sur le bon vieux son chargé d’émotion du groupe. Une question se pose : pourquoi pas un morceau électro ?
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Pour résumer, « l’album de la maturité » est une excellente fresque musicale, dans la continuité de The Perpetual Motion, sans changement notable dans le style (d’ailleurs je ne leur demande pas !) et reste aussi bon que les deux autres opus.
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