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Untitled | chronique
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01- Intro
02- Starting Over
03- Bitch We Got A Problem
04- Evolution
05- Hold On
06- Kiss
07- Do What They Say
08- Ever Be
09- Love And Luxery
10- Innocent Bystander
11- Killing
12- Hushabye
13- I Will Protect You
14- Sing Sorrow
02- Starting Over
03- Bitch We Got A Problem
04- Evolution
05- Hold On
06- Kiss
07- Do What They Say
08- Ever Be
09- Love And Luxery
10- Innocent Bystander
11- Killing
12- Hushabye
13- I Will Protect You
14- Sing Sorrow
Here to stay par c4n4r
Que devient Korn aujourd’hui ?
Comment envisager l’avenir du groupe alors que deux de ses membres (David et Head) ont quittés le navire ? Le groupe sera-t-il encore productif d’un point de vue artistique après ces deux départs ? C’est ce Untitled qui apportera certaines réponses quand à la suite de la carrière artistique des chiens de Backerfield.
Cet album sans nom est donc le premier à avoir été enregistré sans David Silviera (batteur) et toujours sans Head. C’est d’ailleurs John en personne qui se chargera d’enregistrer certaines parties de batterie sur l’album.
Commençons par la pochette, plutôt soignée et remplie de trucs sympathiques pour les fans (un mini poster, des photos de chaque membre du groupe…). Un bel objet pour les collectionneurs.
Au niveau de la musique Korn amorce un véritable virage, déjà visible sur le précédent opus du groupe, les sonorités sont moins lourdes, la voix de John se fait moins torturée mais conserve néanmoins son charisme. Nous aurons donc à faire à un album plus « POP-Rock » teinté de métal qu’a un véritable disque de néo métal.
Le premier véritable morceau de l’album Starting over illustre bien le virage musical qu’a entamé le groupe, on retrouve certains éléments très « KoRn » comme le gros son de guitare 7 cordes mais on sent que l’ensemble se fait moins lourd et dépressif que par le passé. Le son de basse si particuliers de Fiedly a lui aussi disparu pour revenir à des sonorités plus classiques… dommage. Il en résulte tout de même un bon morceau, bien rythmé, bien construit, à l’image de l’album… différent, plus lisse, plus électronique.
On retrouve tout de même un titre construit dans la veine des anciens Korn : Hold On qui fait plus figure de titre « rassurant » pour les fans de la première heure, un morceau plus puissant et direct que les autres figurants sur l’album.
On trouvera même une piste 100% pop, Love And Luxury qui en plus d’être morceau plutôt bien foutu laisse bien entrevoir l’ouverture musicale de John.
Le morceau Kiss, sorte de balade mélancolique renoue un peu avec le coté torturé de Korn mais cette fois-ci avec une instru bien plus douce que par le passé. Déroutant.
Vous l’aurez compris, la bande à John nous emmène vers des terrains encore rarement explorés par le groupe mais ne fait pas mouche sur chaque titre.
Si Davis fait preuve d’un charisme imposant tout au long de l’album, la partie instrumentale se fait elle beaucoup moins poignante.
Les riffs de guitare sont moins inspirés, et parfois même relayés au second plan par des samples.
La batterie, beaucoup plus classique et lisse que par le passé colle bien avec l’aspect général du CD mais on ne peut s’empêcher de regretter le jeu bestial et saccadé de David Silviera.
Sentiment mitigé donc à l’écoute de cet album qui comporte effectivement d’excellentes pistes mais qui pêche par un manque de fougue et d’inspiration au niveau des instruments.
Il en résulte tout de même un album correct qui mérite d’être écouté.
+ r�agir [ 2 commentaires ]
Que devient Korn aujourd’hui ?
Comment envisager l’avenir du groupe alors que deux de ses membres (David et Head) ont quittés le navire ? Le groupe sera-t-il encore productif d’un point de vue artistique après ces deux départs ? C’est ce Untitled qui apportera certaines réponses quand à la suite de la carrière artistique des chiens de Backerfield.
Cet album sans nom est donc le premier à avoir été enregistré sans David Silviera (batteur) et toujours sans Head. C’est d’ailleurs John en personne qui se chargera d’enregistrer certaines parties de batterie sur l’album.
Commençons par la pochette, plutôt soignée et remplie de trucs sympathiques pour les fans (un mini poster, des photos de chaque membre du groupe…). Un bel objet pour les collectionneurs.
Au niveau de la musique Korn amorce un véritable virage, déjà visible sur le précédent opus du groupe, les sonorités sont moins lourdes, la voix de John se fait moins torturée mais conserve néanmoins son charisme. Nous aurons donc à faire à un album plus « POP-Rock » teinté de métal qu’a un véritable disque de néo métal.
Le premier véritable morceau de l’album Starting over illustre bien le virage musical qu’a entamé le groupe, on retrouve certains éléments très « KoRn » comme le gros son de guitare 7 cordes mais on sent que l’ensemble se fait moins lourd et dépressif que par le passé. Le son de basse si particuliers de Fiedly a lui aussi disparu pour revenir à des sonorités plus classiques… dommage. Il en résulte tout de même un bon morceau, bien rythmé, bien construit, à l’image de l’album… différent, plus lisse, plus électronique.
On retrouve tout de même un titre construit dans la veine des anciens Korn : Hold On qui fait plus figure de titre « rassurant » pour les fans de la première heure, un morceau plus puissant et direct que les autres figurants sur l’album.
On trouvera même une piste 100% pop, Love And Luxury qui en plus d’être morceau plutôt bien foutu laisse bien entrevoir l’ouverture musicale de John.
Le morceau Kiss, sorte de balade mélancolique renoue un peu avec le coté torturé de Korn mais cette fois-ci avec une instru bien plus douce que par le passé. Déroutant.
Vous l’aurez compris, la bande à John nous emmène vers des terrains encore rarement explorés par le groupe mais ne fait pas mouche sur chaque titre.
Si Davis fait preuve d’un charisme imposant tout au long de l’album, la partie instrumentale se fait elle beaucoup moins poignante.
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La batterie, beaucoup plus classique et lisse que par le passé colle bien avec l’aspect général du CD mais on ne peut s’empêcher de regretter le jeu bestial et saccadé de David Silviera.
Sentiment mitigé donc à l’écoute de cet album qui comporte effectivement d’excellentes pistes mais qui pêche par un manque de fougue et d’inspiration au niveau des instruments.
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