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The Last Kind Words | chronique
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01- Not All Who Wander Are Lost
02- Clouds Over California
03- Bound By The Moon
04- Horn Of Betrayal
05- These Fighting Words
06- Head On To Heartache (Let Them Rot)
07- Monsters Of The Deep
08- Tirades Of Truth
09- Burning Sermon
10- When Summoned
11- The Axe Shall Fall
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05- These Fighting Words
06- Head On To Heartache (Let Them Rot)
07- Monsters Of The Deep
08- Tirades Of Truth
09- Burning Sermon
10- When Summoned
11- The Axe Shall Fall
Leçon de métal. Tome 3 par c4n4r
Troisième album pour les métalleux de DevilDriver, le groupe de l’ex Coal Chamber Dez Fafara nous distille encore une fois un album thrash death qui ne réinventera certainement pas le genre mais nous donnera plutôt une sérieuse envie d’headbanger comme des sauvages et ça, c’est déjà pas mal.
Exit l’intro recherchée du second opus, ici on commence avec du lourd, quatre coups de cymbales et c’est parti, Not of a wonder all est lancée et on se confronte à du pur Devil Driver. Les riffs de guitare sont agressifs à souhait, la batterie dépense sans compter et Dez, fidèle à lui-même hurle du début à la fin du morceau. Ce premier morceau est à l’image de l’album, puissant, rapide et sans concessions, DevilDriver reste la machine de guerre que l’on connaît.
Pas de grande révolution dans le genre donc, les amoureux des premiers opus seront aux anges, les autres pourront passer leur chemin. A l’écoute de ce disque (et des deux autres également) on sent très bien que le groupe s’est fait plaisir et cette sincérité donne toute son ampleur à l’album. Dez est un amoureux du métal et ça se sent. On est loin, très loin de l'image des nouveaux groupes de "métal fm" au look émo.
Même si la mélodie n’a jamais été une énorme priorité dans la musique de DevilDriver, on notera tout de même quelques rares passages plus fins que le reste, comme les envolées de guitares sur Bound by the moon ou le break de These Fighting words qui donnent un aspect plus fouillé à l’ensemble. Quid de mélodie pour la voix en revanche ? Notre ami tatoué ne relâche jamais la pression et nous crie aux oreilles tout au long de l’album.
Une chose est sûre, Dez et ses potes savent faire du métal et ont le petit plus qui transforme n’importe quel pit et en bourre pif généralisé, mais si sils veulent un jour marquer le métal de leur empreinte il leur faudra se montrer plus inventifs au niveau purement mélodique.
En conclusion, The Last Kind Words est un bon album de métal, parfaitement maîtrisé et à la production excellente. Dez donne une sacrée branlée et on en redemande.
+ r�agir [ 8 commentaires ]
Troisième album pour les métalleux de DevilDriver, le groupe de l’ex Coal Chamber Dez Fafara nous distille encore une fois un album thrash death qui ne réinventera certainement pas le genre mais nous donnera plutôt une sérieuse envie d’headbanger comme des sauvages et ça, c’est déjà pas mal.
Exit l’intro recherchée du second opus, ici on commence avec du lourd, quatre coups de cymbales et c’est parti, Not of a wonder all est lancée et on se confronte à du pur Devil Driver. Les riffs de guitare sont agressifs à souhait, la batterie dépense sans compter et Dez, fidèle à lui-même hurle du début à la fin du morceau. Ce premier morceau est à l’image de l’album, puissant, rapide et sans concessions, DevilDriver reste la machine de guerre que l’on connaît.
Pas de grande révolution dans le genre donc, les amoureux des premiers opus seront aux anges, les autres pourront passer leur chemin. A l’écoute de ce disque (et des deux autres également) on sent très bien que le groupe s’est fait plaisir et cette sincérité donne toute son ampleur à l’album. Dez est un amoureux du métal et ça se sent. On est loin, très loin de l'image des nouveaux groupes de "métal fm" au look émo.
Même si la mélodie n’a jamais été une énorme priorité dans la musique de DevilDriver, on notera tout de même quelques rares passages plus fins que le reste, comme les envolées de guitares sur Bound by the moon ou le break de These Fighting words qui donnent un aspect plus fouillé à l’ensemble. Quid de mélodie pour la voix en revanche ? Notre ami tatoué ne relâche jamais la pression et nous crie aux oreilles tout au long de l’album.
Une chose est sûre, Dez et ses potes savent faire du métal et ont le petit plus qui transforme n’importe quel pit et en bourre pif généralisé, mais si sils veulent un jour marquer le métal de leur empreinte il leur faudra se montrer plus inventifs au niveau purement mélodique.
En conclusion, The Last Kind Words est un bon album de métal, parfaitement maîtrisé et à la production excellente. Dez donne une sacrée branlée et on en redemande.
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