zonemetal > chroniques > Nevermore > This Godless Endeavor
This Godless Endeavor | chronique
acheter cet album
01- Born
02- Final Product
03- My acid words
04- Bittersweet feast
05- Sentient 6
06- Medicated nation
07- The holocaust of thought
08- Sell my heart for stones
09- The psalm of Lydia
10- A future uncertain
11- This godless endeavor
02- Final Product
03- My acid words
04- Bittersweet feast
05- Sentient 6
06- Medicated nation
07- The holocaust of thought
08- Sell my heart for stones
09- The psalm of Lydia
10- A future uncertain
11- This godless endeavor
Varié, mélodique, puissant par Sirius
Nevermore est un groupe à part. En témoignent les différentes classifications que j'ai pu trouver: heavy, thrash, speed, power, prog', mélodique… Si leur discographie (que je ne possède pas) est à l'image de ce This godless endeavor, je comprends pourquoi.
En effet, les 11 pistes ici présentes sont tellement variées qu'on aurait bien du mal à donner un qualificatif à la musique (du Nevermore-core ?). La première chose qui frappe, c'est la paire de guitaristes d'un niveau complètement hallucinant qui délivrent des solos de virtuoses sur leurs 7-cordes, mais qui réussissent en même temps l'exploit de véhiculer des émotions et de ne jamais tomber dans la démonstration, de même que pour ces mélodies recherchées et empreintes d'une mélancolie certaine. A l'image de Warrel Dane qui, du haut de son perchoir à la Bruce Dickinson (en moins crispant) débite des textes bien pessimistes (réalistes ?) quant à la situation actuelle du monde. Pour autant Nevermore n'est pas un simple groupe de pleureuses tout en mélodies, et c'est d'ailleurs "Born" qui ouvre l'album qui va vous le montrer. Up-tempo, double grosse caisse (qui tend parfois vers le death comme sur "The psalm of Lydia"), riffs bandants de technique et d'efficacité, voix plus agressive (mais toujours chantée), les yankees savent également thrashiser leur propos. Plus encore, c'est constamment que les genres se mêlent pour former un ensemble unique. C'est ainsi que débarque la ballade sombre et pesante "Sentient 6" après un "Bittersweet feast" fantastique mêlant agressivité, complexité (grâce entre autres à un batteur inventif), et toujours technique avec ce solo frissonnant. Nevermore joue avec les ambiances et sort des chemins battus en proposant une musique aventureuse et personnelle. En témoigne le magnifique morceau-titre de 9 minutes débutant avec une superbe intro acoustique, et ensuite c'est l'effervescence… Les envolées guitaristiques, le pillonage en finesse, les riffs couillus, la basse qui dynamise l'ensemble, tout ça pour culminer avec la fin démente: "Welcome to the end my friend, the sky has opened". Certes, l'album n'est pas exempt de défauts, certains riffs étant plus faibles que d'autres. Néanmoins, et même si je ne peux pas être objectif, This godless endeavor est un excellent disque, original, varié, et il me donne envie de me pencher sur le reste de la discographie de ce groupe atypique.
+ r�agir [ 1 commentaire ]
Nevermore est un groupe à part. En témoignent les différentes classifications que j'ai pu trouver: heavy, thrash, speed, power, prog', mélodique… Si leur discographie (que je ne possède pas) est à l'image de ce This godless endeavor, je comprends pourquoi.
En effet, les 11 pistes ici présentes sont tellement variées qu'on aurait bien du mal à donner un qualificatif à la musique (du Nevermore-core ?). La première chose qui frappe, c'est la paire de guitaristes d'un niveau complètement hallucinant qui délivrent des solos de virtuoses sur leurs 7-cordes, mais qui réussissent en même temps l'exploit de véhiculer des émotions et de ne jamais tomber dans la démonstration, de même que pour ces mélodies recherchées et empreintes d'une mélancolie certaine. A l'image de Warrel Dane qui, du haut de son perchoir à la Bruce Dickinson (en moins crispant) débite des textes bien pessimistes (réalistes ?) quant à la situation actuelle du monde. Pour autant Nevermore n'est pas un simple groupe de pleureuses tout en mélodies, et c'est d'ailleurs "Born" qui ouvre l'album qui va vous le montrer. Up-tempo, double grosse caisse (qui tend parfois vers le death comme sur "The psalm of Lydia"), riffs bandants de technique et d'efficacité, voix plus agressive (mais toujours chantée), les yankees savent également thrashiser leur propos. Plus encore, c'est constamment que les genres se mêlent pour former un ensemble unique. C'est ainsi que débarque la ballade sombre et pesante "Sentient 6" après un "Bittersweet feast" fantastique mêlant agressivité, complexité (grâce entre autres à un batteur inventif), et toujours technique avec ce solo frissonnant. Nevermore joue avec les ambiances et sort des chemins battus en proposant une musique aventureuse et personnelle. En témoigne le magnifique morceau-titre de 9 minutes débutant avec une superbe intro acoustique, et ensuite c'est l'effervescence… Les envolées guitaristiques, le pillonage en finesse, les riffs couillus, la basse qui dynamise l'ensemble, tout ça pour culminer avec la fin démente: "Welcome to the end my friend, the sky has opened". Certes, l'album n'est pas exempt de défauts, certains riffs étant plus faibles que d'autres. Néanmoins, et même si je ne peux pas être objectif, This godless endeavor est un excellent disque, original, varié, et il me donne envie de me pencher sur le reste de la discographie de ce groupe atypique.
+ r�agir [ 1 commentaire ]
NOUVEAUTÉS
RECHERCHE
Moonspell
[ paroles ]
1755
Korn [ paroles ]
The Serenity Of Suffering
Metallica [ paroles ]
Hardwired...To Self-Destruct
Gojira [ paroles ]
Magma
Motorhead [ paroles ]
Bad Magic
Behemoth [ paroles ]
The Satanist
Paradise Lost [ paroles ]
The Plague Within
1755
Korn [ paroles ]
The Serenity Of Suffering
Metallica [ paroles ]
Hardwired...To Self-Destruct
Gojira [ paroles ]
Magma
Motorhead [ paroles ]
Bad Magic
Behemoth [ paroles ]
The Satanist
Paradise Lost [ paroles ]
The Plague Within
________________
RECHERCHE