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Human | chronique
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01- Flattening of Emotions
02- Suicide Machine
03- Together as One
04- Secret Face
05- Lack of Comprehension
06- See Through Dreams
07- Cosmic Sea
08- Vacant Planets
02- Suicide Machine
03- Together as One
04- Secret Face
05- Lack of Comprehension
06- See Through Dreams
07- Cosmic Sea
08- Vacant Planets
Technique et inventif par 870621345
En 1991 ? Dans l’underground se trame quelque chose de moins démonstratif que l'avènement du métal émotionnel ambiant. De plus violent, de tout aussi novateur.
Après avoir posé les bases du Death Métal aux côtés de Possessed avec ses (excellents) Scream Bloody Gore et Leprosy, albums aussi véloces et agressifs que mélodiques, en passant par le plus mitigé Spiritual healing, Death a choisi de faire une fois encore évoluer son style.
La création quasi officielle d’un genre : le death métal technique. Le nom de son leader : Chuck Schuldiner.
Après s'être entourés des meilleurs musiciens du style, Schuldiner a creusé, fouillé, exploré le maximum des facettes que le style dans lequel il officie afin d'en extraire le meilleur.
En un album, celui-ci torche huit morceaux (huit bombes), qui a elles seules peuvent définitivement vous servir de référence si vous voulez vous faire une idée précise de ce que le death technique (techno death pour les initiés) peut vous offrir.
Du jeu de guitare à la structure générale de la composition, l’album Human fourmille de détails et, encore une fois, dégage une certaine noirceur dans l’ambiance des compos, ce qui rend à l’auditeur un sentiment de beauté quasi malsaine.
Schuldiner chasse sur des terrains encore vierges ou presque, balisé çà et là par Atheist ou les précédentes livraison du groupe, ceux d’un death brut, mélodique, lourd et pesant.
Sean Reinert, le (monstrueux) batteur, livre un jeu dense et fouillé qui confère aux riffs la meilleure rythmique possible.
Passages mélodiques, ambiances agressives et toujours plus ou moins inquiétantes, le chanson « Lack of comprehension » semble vraiment l’une des meilleures chansons de death technique écrite à ce jour (quel solo, et quel riff qui s'ensuit !).
Chuck a alors donné son jeu, Chuck a donné son style, Chuck a offert à ses fans un album géniteur d’un genre particulier, en marge des productions diverses, en marge du mainstream, et pourtant, encore aujourd’hui trop peu connu, Death a tout simplement été l’un meilleur d’un genre qu’il a lui-même engendré.
Je ne pourrais faire autrement que de vous recommander chaudement cet album qui apparaît comme l’un des meilleurs albums de Death, et de Death métal technique, tout simplement.
+ r�agir [ 9 commentaires ]
En 1991 ? Dans l’underground se trame quelque chose de moins démonstratif que l'avènement du métal émotionnel ambiant. De plus violent, de tout aussi novateur.
Après avoir posé les bases du Death Métal aux côtés de Possessed avec ses (excellents) Scream Bloody Gore et Leprosy, albums aussi véloces et agressifs que mélodiques, en passant par le plus mitigé Spiritual healing, Death a choisi de faire une fois encore évoluer son style.
La création quasi officielle d’un genre : le death métal technique. Le nom de son leader : Chuck Schuldiner.
Après s'être entourés des meilleurs musiciens du style, Schuldiner a creusé, fouillé, exploré le maximum des facettes que le style dans lequel il officie afin d'en extraire le meilleur.
En un album, celui-ci torche huit morceaux (huit bombes), qui a elles seules peuvent définitivement vous servir de référence si vous voulez vous faire une idée précise de ce que le death technique (techno death pour les initiés) peut vous offrir.
Du jeu de guitare à la structure générale de la composition, l’album Human fourmille de détails et, encore une fois, dégage une certaine noirceur dans l’ambiance des compos, ce qui rend à l’auditeur un sentiment de beauté quasi malsaine.
Schuldiner chasse sur des terrains encore vierges ou presque, balisé çà et là par Atheist ou les précédentes livraison du groupe, ceux d’un death brut, mélodique, lourd et pesant.
Sean Reinert, le (monstrueux) batteur, livre un jeu dense et fouillé qui confère aux riffs la meilleure rythmique possible.
Passages mélodiques, ambiances agressives et toujours plus ou moins inquiétantes, le chanson « Lack of comprehension » semble vraiment l’une des meilleures chansons de death technique écrite à ce jour (quel solo, et quel riff qui s'ensuit !).
Chuck a alors donné son jeu, Chuck a donné son style, Chuck a offert à ses fans un album géniteur d’un genre particulier, en marge des productions diverses, en marge du mainstream, et pourtant, encore aujourd’hui trop peu connu, Death a tout simplement été l’un meilleur d’un genre qu’il a lui-même engendré.
Je ne pourrais faire autrement que de vous recommander chaudement cet album qui apparaît comme l’un des meilleurs albums de Death, et de Death métal technique, tout simplement.
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