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Kill | chronique
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01- The Time to Kill Is Now
02- Make Them Suffer
03- Murder Worship
04- Submerged in Boiling Flesh
05- Five Nails Through the Neck
06- Purification by Fire
07- Death Walking Terror
08- Barbaric Bludgeonings
09- The Discipline of Revenge
10- Brain Removal Device
11- Necrosadistic Warning
12- Maniacal
13- Infinite Misery
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10- Brain Removal Device
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12- Maniacal
13- Infinite Misery
Retour aux sources par 870621345
Qu'on se le dise, peu d'entre nous croyaient encore Cannibal Corpse capable de se renouveller ou d'accrocher réellement l'auditeur.
Trop facile, pas assez evil, trop propre, pas assez malsain, bref, les livraisons précédentes du groupe n'auront finalement que peu convaincu, faisant toujours, quoi qu'il arrive, regretter amèrement l'ère Chris Barnes, premier chanteur du groupe.
C'est alors avec un brin de scepticisme que j'insère ce Kill dans mon lecteur.
Et bien, que ce soit clair, et sans mauvais jeu de mots, l'album est une tuerie (ha ha ha).
Exit le sentiment d'embourbement, et rebonjour les riffs evil à souhait, le défouraillage est ici une règle d'or que le Cadavre cannibale distille finement (hem...) au long de tout l'album.
Une alternance soignée entre mosh-part et riffs thrashisants, ponctués ça et là de blast à couper le souffle, Cannibal renoue avec les éviscérations passées, pour livre ici un pur album de Death métal, point barre.
La production énorme de l'excellent Erik Rutan (leader d'Hate Eternal, et ex Morbid Angel) n'est par ailleurs pas étrangère à une telle réussite, ce dernier étant parvenu à restituer le son gras et crade d'antan, tout en s'accomodant des meilleures techniques de production actuelles, afin de conférer aussi, une parfaite lisibilité de chaque instrument, permettant à chacun des musiciens de s'exprimer pleinement.
Ca joue dur, violemment, et très très très bien...
Certes, il y a de la redite, et certains riffs chassent sur les même terres qu'un Butchered at birth, mais diantre, que demander de plus à cet album qui rend ses lettres de noblesses à un genre qui paraissait autrefois essouflé ?
Vous l'aurez compris, Cannibal Corpse, vient de pondre un authentique monument de Death-métal, ce qui, bordel, est quand même d'autant plus formidable qu'il émane d'un groupe sans compromis, ayant 20 ans d'activisme acharné derrrière lui.
A noter que le packacking limité contient un live 17 titres de qualité.
Incontournable.
+ r�agir [ 10 commentaires ]
Qu'on se le dise, peu d'entre nous croyaient encore Cannibal Corpse capable de se renouveller ou d'accrocher réellement l'auditeur.
Trop facile, pas assez evil, trop propre, pas assez malsain, bref, les livraisons précédentes du groupe n'auront finalement que peu convaincu, faisant toujours, quoi qu'il arrive, regretter amèrement l'ère Chris Barnes, premier chanteur du groupe.
C'est alors avec un brin de scepticisme que j'insère ce Kill dans mon lecteur.
Et bien, que ce soit clair, et sans mauvais jeu de mots, l'album est une tuerie (ha ha ha).
Exit le sentiment d'embourbement, et rebonjour les riffs evil à souhait, le défouraillage est ici une règle d'or que le Cadavre cannibale distille finement (hem...) au long de tout l'album.
Une alternance soignée entre mosh-part et riffs thrashisants, ponctués ça et là de blast à couper le souffle, Cannibal renoue avec les éviscérations passées, pour livre ici un pur album de Death métal, point barre.
La production énorme de l'excellent Erik Rutan (leader d'Hate Eternal, et ex Morbid Angel) n'est par ailleurs pas étrangère à une telle réussite, ce dernier étant parvenu à restituer le son gras et crade d'antan, tout en s'accomodant des meilleures techniques de production actuelles, afin de conférer aussi, une parfaite lisibilité de chaque instrument, permettant à chacun des musiciens de s'exprimer pleinement.
Ca joue dur, violemment, et très très très bien...
Certes, il y a de la redite, et certains riffs chassent sur les même terres qu'un Butchered at birth, mais diantre, que demander de plus à cet album qui rend ses lettres de noblesses à un genre qui paraissait autrefois essouflé ?
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