zonemetal > chroniques > The Old Dead Tree > The Nameless Disease
The Nameless Disease | chronique
acheter cet album
01- We Cry As One
02- It Can't Be
03- How Could You ?
04- Won't Follow Him
05- It's The same For Everyone
06- Somewhere Else
07- Joy & Happiness
08- Transition
09- Quietly Kissing Death
10- All...
11- The Bathroom Monologue
02- It Can't Be
03- How Could You ?
04- Won't Follow Him
05- It's The same For Everyone
06- Somewhere Else
07- Joy & Happiness
08- Transition
09- Quietly Kissing Death
10- All...
11- The Bathroom Monologue
La classe, tout simplement par Sirius
Parce qu’il n’y a pas que Gojira en France et qu’il fait mauvais temps dehors, mais aussi parce qu’on a affaire à un excellent groupe, il faut que je vous parle de The Old Dead Tree. Bien que The Nameless Disease soit leur premier album (et deuxième sortie si on compte la démo The Blossom), il y a de quoi être étonné et impressionné par la maîtrise dont faisait déjà preuve le groupe.
Il est assez difficile de définir précisément le mélange proposé par ces français car ceux-ci ne s’embarrassent pas de contraintes stylistiques comme c’est trop souvent le cas. La seule dominante : l’émotion. The Nameless Disease est un album qui a en fait été écrit comme une catharsis, car les thèmes évoqués sont reliés au suicide de l’ancien batteur du groupe. Vous devinez donc que le résultat n’est pas particulièrement heureux… Même si on est plus face à une « agréable » mélancolie qu’à un flot d’énergies négatives. Le groupe a mal, oui, mais tout n’est pas noir, loin de là : une lumière subsiste au sein de chaque chanson, car malgré les difficultés il faut parvenir à aller de l’avant.
Ce mélange de noir et de blanc se reflète donc logiquement dans la musique qui est tour à tour violente (riffs bourrins, double-pédale à fond, cris rageurs) et calme, apaisante, avec un chant clair déjà bien maîtrisé, qui même s’il ne rivalise pas en technique avec quelqu’un comme Jeff Buckley, n’en délivre pas moins beaucoup d’émotions, épaulé en cela par de très belles harmonies de guitare. Si je devais citer des noms de groupes pour que vous visualisiez mieux, je crois que j’aurais bien du mal… On pense peut-être un peu à Opeth sans la complexité, ou à Anathema, mais The Old Dead Tree est un groupe talentueux, et avec sa personnalité propre, il ne sert donc pas à grand-chose de chercher à les cataloguer ou à les comparer… Le plus étonnant chez eux, c’est peut-être leur capacité à proposer une musique des plus variées (qui va du metal extrême à la pop !) sans pour autant qu’on ait l’impression qu’il ne s’agisse que d’un collage de riffs les uns à côté des autres, il se dégage une forte unité, une cohérence de cet ensemble.
Retenez juste qu’on est en présence d’un groupe qui a la classe, tout simplement, qui n’en fait jamais trop (le jeu de batterie est plutôt simple mais ô combien efficace, et laisse les guitares s’exprimer) et qui sait trouver les notes justes pour toucher l’auditeur.
+ r�agir [ 2 commentaires ]
Parce qu’il n’y a pas que Gojira en France et qu’il fait mauvais temps dehors, mais aussi parce qu’on a affaire à un excellent groupe, il faut que je vous parle de The Old Dead Tree. Bien que The Nameless Disease soit leur premier album (et deuxième sortie si on compte la démo The Blossom), il y a de quoi être étonné et impressionné par la maîtrise dont faisait déjà preuve le groupe.
Il est assez difficile de définir précisément le mélange proposé par ces français car ceux-ci ne s’embarrassent pas de contraintes stylistiques comme c’est trop souvent le cas. La seule dominante : l’émotion. The Nameless Disease est un album qui a en fait été écrit comme une catharsis, car les thèmes évoqués sont reliés au suicide de l’ancien batteur du groupe. Vous devinez donc que le résultat n’est pas particulièrement heureux… Même si on est plus face à une « agréable » mélancolie qu’à un flot d’énergies négatives. Le groupe a mal, oui, mais tout n’est pas noir, loin de là : une lumière subsiste au sein de chaque chanson, car malgré les difficultés il faut parvenir à aller de l’avant.
Ce mélange de noir et de blanc se reflète donc logiquement dans la musique qui est tour à tour violente (riffs bourrins, double-pédale à fond, cris rageurs) et calme, apaisante, avec un chant clair déjà bien maîtrisé, qui même s’il ne rivalise pas en technique avec quelqu’un comme Jeff Buckley, n’en délivre pas moins beaucoup d’émotions, épaulé en cela par de très belles harmonies de guitare. Si je devais citer des noms de groupes pour que vous visualisiez mieux, je crois que j’aurais bien du mal… On pense peut-être un peu à Opeth sans la complexité, ou à Anathema, mais The Old Dead Tree est un groupe talentueux, et avec sa personnalité propre, il ne sert donc pas à grand-chose de chercher à les cataloguer ou à les comparer… Le plus étonnant chez eux, c’est peut-être leur capacité à proposer une musique des plus variées (qui va du metal extrême à la pop !) sans pour autant qu’on ait l’impression qu’il ne s’agisse que d’un collage de riffs les uns à côté des autres, il se dégage une forte unité, une cohérence de cet ensemble.
Retenez juste qu’on est en présence d’un groupe qui a la classe, tout simplement, qui n’en fait jamais trop (le jeu de batterie est plutôt simple mais ô combien efficace, et laisse les guitares s’exprimer) et qui sait trouver les notes justes pour toucher l’auditeur.
+ r�agir [ 2 commentaires ]
NOUVEAUTÉS
RECHERCHE
Moonspell
[ paroles ]
1755
Korn [ paroles ]
The Serenity Of Suffering
Metallica [ paroles ]
Hardwired...To Self-Destruct
Gojira [ paroles ]
Magma
Motorhead [ paroles ]
Bad Magic
Behemoth [ paroles ]
The Satanist
Paradise Lost [ paroles ]
The Plague Within
1755
Korn [ paroles ]
The Serenity Of Suffering
Metallica [ paroles ]
Hardwired...To Self-Destruct
Gojira [ paroles ]
Magma
Motorhead [ paroles ]
Bad Magic
Behemoth [ paroles ]
The Satanist
Paradise Lost [ paroles ]
The Plague Within
________________
RECHERCHE