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DYSFUNCTIONAL BY CHOICE | interview ~ le 11-04-2008
avec :
- Vincent Bertellin (guitare)
réalisée par : Njar et c4n4r
- Vincent Bertellin (guitare)
réalisée par : Njar et c4n4r
C’est au Grillen, petite salle Colmarienne que le jeune label Ghandy’s Revenge nous a invité à venir rencontrer le très sympathique groupe Dysfunctional By Choice. Mon compère c4n4r et moi-même, avons donc pu approcher la formation afin de l’interroger sur leur actualité. S'en est suivi un live en compagnie - entre autres - de Hollow Corp et du très bon groupe allemand The ocean. Soirée très instructive !
En quelques mots, Dysfunctional By Choice c’est quoi ?
Vince : Une orthographe difficile et compliquée [ rires ], c’est pour ça qu’on dit Disby entre nous. Cela va faire 10 ans qu’on a créé ce groupe, et c’est vraiment pour s’éclater, faire de la musique quoi. A la base Disby est un groupe de lycée…
Votre style est très particulier, parlez nous en un peu.
Vince : On a tous un style très différent mais on est tous d’accord sur le fait que l’ingrédient principal du Rock c’est les grosses grattes mais nos influences sont très variées : les Smashing Pumpkins, Foo Fighters, Nirvana, et pas mal de Metal.
Depuis combien de temps faites-vous de la musique ?
Vince : On a une quinzaine d’années de musique chacun, les vrais débuts en tant que groupe ça a vraiment été avec Disby, et c’est vraiment l’éclate : il y a une super ambiance, peu de prises de têtes, on fait tout ça vraiment pour s’éclater.
Travelling In Travel, votre dernier album est plutôt assez conceptuel en soi. Comment en êtes-vous venu à ce résultat ?
Vince : C’est un regroupement de plein de morceaux, certains on jusqu'à un an d’écart. On a essayé de lancer l’auditeur sur un voyage, vraiment pour essayer de faire en sorte que cet album puisse être écouté en entier. Tous les morceaux sont liés les uns aux autres par des interludes faites avec des sons un peu électros. On a vraiment voulu créer un fil conducteur afin de concevoir un album qui s’écoute dans son intégralité. Tu ne trouveras pas vraiment de « single » taillé pour Virgin Radio sur ce disque. On n'est pas du tout parti dans l’optique « radiophonique ».
La pochette est vraiment sympa, on y voit un homme en chute libre, il est fait avec plusieurs couches se superposant les unes au dessus des autres. Pourquoi avoir mis ça en place ?
Vince : C’est un délire qu’on a eu, on voulait faire quelque chose qui change un peu, et c’est vraiment un plaisir qu’on a voulu s’offrir. Tout est lié à l’élément graphique qui est l’homme qui tombe.
Tu sais aujourd’hui avec le téléchargement, les artistes doivent vraiment redoubler d’effort pour vendre leur cuisine, et on pense vraiment que de proposer en plus de la musique un bel objet à un prix abordable (l’album est vendu au prix de 15 euros) c'est orienter l’auditeur vers l’achat du disque. Si on devait donner un point positif au téléchargement c’est que cela a vraiment obligé les groupes à être plus créatifs sur le packaging et le visuel de leurs CDs et c’est une bonne chose je pense…
On vous voit de plus en plus en premières parties de groupes plutôt sympas. Avec qui avez-vous tourné pour le moment ?
Vince : Oui c’est vrai que de plus en plus on tourne avec du gros. On a déjà joué avec Aqme, Lofofora, Housebound, No one is innocent, Watcha, Mass Hysteria et Psykup.
Quels sont vos meilleurs souvenirs ?
Vince : Psykup, les mecs sont trop forts ! Ils sont complètement atteints. Aqmé : très bon esprit, ils font beaucoup pour les petits groupes, j’ai vraiment aimé travailler avec eux. Et la meilleur chose qui nous soit arrivée, c’est Biquet, notre manager [ Biquet tout heureux sautille à coté de nous en faisant de grands sourires niais ]
Quelque chose à dire pour conclure cette petite interview ?
Vince : Non, à part que c’est sympa les gars d’être venu pour nous ! Là on va jouer, j’espère que vous resterez pour nous voir et pour boire un p'tit coup avec nous après !
[ Nous sommes donc resté avec c4n4r, et on à vraiment passé une soirée géniale : un super concert, très carré et propre, des balances et un éclairage bien réglés. Une excellente soirée en compagnie des Disby, on y a croisé les Housebound, le bon vieux Bertrand - qui d’ailleurs a un petit message a faire passer à la France : « Buriez est un gros pédophile », nous voila prévenus -. La soirée s’est terminée dans un joyeux bordel, sélection de qui sodomisera qui à l’hôtel, rasade de whisky et humour pipi caca de rigueur.
Un grand merci au guitariste de Lazy qui assurait l’intérim car l’un des gratteux de Disby ne pouvait pas assurer le concert, et nous remercions également toute l’équipe du Grillen de Colmar, Biquet l’ingé son, les Disby, et toute la bande d’alcoolique qu’on a rencontré sur place ! See you soon les gars ! ]
En quelques mots, Dysfunctional By Choice c’est quoi ?
Vince : Une orthographe difficile et compliquée [ rires ], c’est pour ça qu’on dit Disby entre nous. Cela va faire 10 ans qu’on a créé ce groupe, et c’est vraiment pour s’éclater, faire de la musique quoi. A la base Disby est un groupe de lycée…
Votre style est très particulier, parlez nous en un peu.
Vince : On a tous un style très différent mais on est tous d’accord sur le fait que l’ingrédient principal du Rock c’est les grosses grattes mais nos influences sont très variées : les Smashing Pumpkins, Foo Fighters, Nirvana, et pas mal de Metal.
Depuis combien de temps faites-vous de la musique ?
Vince : On a une quinzaine d’années de musique chacun, les vrais débuts en tant que groupe ça a vraiment été avec Disby, et c’est vraiment l’éclate : il y a une super ambiance, peu de prises de têtes, on fait tout ça vraiment pour s’éclater.
Travelling In Travel, votre dernier album est plutôt assez conceptuel en soi. Comment en êtes-vous venu à ce résultat ?
Vince : C’est un regroupement de plein de morceaux, certains on jusqu'à un an d’écart. On a essayé de lancer l’auditeur sur un voyage, vraiment pour essayer de faire en sorte que cet album puisse être écouté en entier. Tous les morceaux sont liés les uns aux autres par des interludes faites avec des sons un peu électros. On a vraiment voulu créer un fil conducteur afin de concevoir un album qui s’écoute dans son intégralité. Tu ne trouveras pas vraiment de « single » taillé pour Virgin Radio sur ce disque. On n'est pas du tout parti dans l’optique « radiophonique ».
La pochette est vraiment sympa, on y voit un homme en chute libre, il est fait avec plusieurs couches se superposant les unes au dessus des autres. Pourquoi avoir mis ça en place ?
Vince : C’est un délire qu’on a eu, on voulait faire quelque chose qui change un peu, et c’est vraiment un plaisir qu’on a voulu s’offrir. Tout est lié à l’élément graphique qui est l’homme qui tombe.
Tu sais aujourd’hui avec le téléchargement, les artistes doivent vraiment redoubler d’effort pour vendre leur cuisine, et on pense vraiment que de proposer en plus de la musique un bel objet à un prix abordable (l’album est vendu au prix de 15 euros) c'est orienter l’auditeur vers l’achat du disque. Si on devait donner un point positif au téléchargement c’est que cela a vraiment obligé les groupes à être plus créatifs sur le packaging et le visuel de leurs CDs et c’est une bonne chose je pense…
On vous voit de plus en plus en premières parties de groupes plutôt sympas. Avec qui avez-vous tourné pour le moment ?
Vince : Oui c’est vrai que de plus en plus on tourne avec du gros. On a déjà joué avec Aqme, Lofofora, Housebound, No one is innocent, Watcha, Mass Hysteria et Psykup.
Quels sont vos meilleurs souvenirs ?
Vince : Psykup, les mecs sont trop forts ! Ils sont complètement atteints. Aqmé : très bon esprit, ils font beaucoup pour les petits groupes, j’ai vraiment aimé travailler avec eux. Et la meilleur chose qui nous soit arrivée, c’est Biquet, notre manager [ Biquet tout heureux sautille à coté de nous en faisant de grands sourires niais ]
Quelque chose à dire pour conclure cette petite interview ?
Vince : Non, à part que c’est sympa les gars d’être venu pour nous ! Là on va jouer, j’espère que vous resterez pour nous voir et pour boire un p'tit coup avec nous après !
[ Nous sommes donc resté avec c4n4r, et on à vraiment passé une soirée géniale : un super concert, très carré et propre, des balances et un éclairage bien réglés. Une excellente soirée en compagnie des Disby, on y a croisé les Housebound, le bon vieux Bertrand - qui d’ailleurs a un petit message a faire passer à la France : « Buriez est un gros pédophile », nous voila prévenus -. La soirée s’est terminée dans un joyeux bordel, sélection de qui sodomisera qui à l’hôtel, rasade de whisky et humour pipi caca de rigueur.
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